Élections législatives grecques de juin 2012
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En Grèce, de nouvelles élections législatives sont convoquées pour le , dix jours après la tenue des élections législatives de mai 2012.
Davantage d’informations 300 sièges du Parlement grec (Majorité absolue : 151 sièges), Corps électoral et résultats ...
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Élections législatives grecques de juin 2012 | ||||||||||||||
300 sièges du Parlement grec (Majorité absolue : 151 sièges) | ||||||||||||||
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Corps électoral et résultats | ||||||||||||||
Inscrits | 9 947 876 | |||||||||||||
Votants | 6 216 798 | |||||||||||||
62,49 % 2,6 | ||||||||||||||
Nouvelle Démocratie – Antónis Samarás | ||||||||||||||
Voix | 1 825 497 | |||||||||||||
29,66 % |
10,8 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 129 | 21 | ||||||||||||
SYRIZA – Aléxis Tsípras | ||||||||||||||
Voix | 1 655 022 | |||||||||||||
26,89 % |
10,1 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 71 | 19 | ||||||||||||
Mouvement socialiste panhellénique – Evángelos Venizélos | ||||||||||||||
Voix | 756 024 | |||||||||||||
12,28 % |
0,9 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 33 | 8 | ||||||||||||
Grecs indépendants – Pános Kamménos | ||||||||||||||
Voix | 462 406 | |||||||||||||
7,51 % |
3,1 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 20 | 13 | ||||||||||||
Aube dorée – Nikólaos Michaloliákos | ||||||||||||||
Voix | 426 025 | |||||||||||||
6,92 % |
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Sièges obtenus | 18 | 3 | ||||||||||||
Gauche démocrate – Fótis Kouvélis | ||||||||||||||
Voix | 384 986 | |||||||||||||
6,26 % |
0,1 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 17 | 2 | ||||||||||||
Carte électorale | ||||||||||||||
Représentation de l'assemblée | ||||||||||||||
Gouvernement | ||||||||||||||
Sortant | Élu | |||||||||||||
Pikramménos Aucune |
Samarás ND - PASOK - DIMAR | |||||||||||||
Législature élue | ||||||||||||||
15e | ||||||||||||||
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En effet le précédent scrutin a vu l'effondrement des partis jusque-là dominants et qui étaient les seuls à accepter les conditions liées aux plans de sauvetage (parfois qualifiés de pro-austérité). Ne disposant pas de la majorité absolue, ils n'ont pas été en mesure de former un gouvernement avec les autres partis opposés à l'extrême rigueur de ce plan de sauvetage.
La direction d'un gouvernement intérimaire est confiée au président du Conseil d'État Panagiótis Pikramménos, chargé des affaires courantes jusqu'aux élections[1].