1951 en dadaïsme et surréalisme
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Éphémérides
Octobre
André Breton, Sucre jaune, article publié dans Arts en réaction au texte d'Albert Camus, Lautréamont et la banalité[1] paru dans Les Cahiers du Sud en septembre : « [Albert Camus] ne veut voir en Lautréamont qu'un adolescent « coupable » qu'il faut que lui - en sa qualité d'adulte - il morigène. Il va jusqu'à lui trouver dans la seconde partie de son œuvre : Poésies, une punition méritée. À en croire Camus, Poésies ne serait qu'un ramassis de « banalités laborieuses » […] - l'expression de la « banalité absolue », du plus « morne conformisme. »[2]
Publication dans Le Libertaire d'une Déclaration préalable au manifeste Surréalisme et anarchisme signée collectivement par Jean-Louis Bédouin, Robert Benayoun, André Breton, Adrien Dax, Jean-Pierre Duprey, Jean Ferry, Georges Goldfayn, Gérard Legrand, Jehan Mayoux, Benjamin Péret, Jean Schuster et Clovis Trouille : « La lutte pour le remplacement des structures sociales et l’activité déployée par le surréalisme pour transformer les structures mentales, loin de s’exclure, sont complémentaires. Leur jonction doit hâter la venue d’un âge libéré de toute hiérarchie et toute contrainte. »[3]
Cette année-là
- En séjour à Paris, Wolfgang Paalen se réconcilie avec Breton.
Œuvres
- William Baziotes
- Toy World, huile sur toile
- Paul Delvaux
- L'Âge de fer, huile sur toile
- Marcel Duchamp
- Feuille de vigne femelle, plâtre peint en vert[4]
- Max Ernst
- Les Trois Cyprès, huile sur toile
- Matta
- Les Roses sont belles, huile sur toile[5]
- Octavio Paz
- Aigle ou soleil ?, recueil de poèmes : « Mérite ce que tu rêves »[6]
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