L'avion était un Lockheed L-1049 Super Constellation modifié et était équipé d'un radar de fuselage, et ses tâches principales étaient de mener une patrouille de reconnaissance à longue portée, d'établir une surveillance électronique et de servir de lanceur d'alerte[1].
L’administration Nixon ne prit pas de représailles contre la Corée du Nord, hormis l'envoi d'un groupe aéronaval dans la mer du Japon quelques jours plus tard, et qui fut rapidement retiré. Les États-Unis reprennent les vols de reconnaissance une semaine plus tard pour montrer qu'ils n'étaient en rien intimidés par l'action nord-coréenne, tout en évitant une confrontation directe[2].