Aviation légère de l'Armée de terre
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En France, l'aviation légère de l'Armée de terre (ALAT) est historiquement issue de l'artillerie dont elle constituait en 1952 les moyens d'aviation sous le nom d'ALOA : « aviation légère d'observation d'artillerie ». L'ALAT devient une arme distincte de l'artillerie en 2003[2] et fait partie de l'Armée de terre.
Aviation légère de l'Armée de terre | |
Insigne de l'ALAT. | |
Création | |
---|---|
Pays | France |
Allégeance | Armée française |
Branche | Armée de terre |
Type | Commandement spécialisé |
Rôle | Aviation légère militaire |
Effectif | 4 369 (en 2 017) |
Garnison | Vélizy-Villacoublay |
Surnom | ALAT |
Devise | « De la terre, par le ciel » |
Marche | Chant de l'ALAT |
Inscriptions sur l’emblème |
AFN 1952-1962 |
Équipement | Hélicoptères, avions |
Commandant | Général de division Pierre Meyer [1] depuis le |
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Cette aviation légère militaire utilise principalement des hélicoptères dont les différents rôles sont l'éclairage des forces au sol (chars et infanterie), le repérage de cibles pour l'artillerie, le combat contre les éclaireurs adverses, le combat (par exemple antichar), le ravitaillement, ainsi que la dépose et la récupération de soldats en zone ennemie. Elle sert principalement à l'appui des troupes au sol. Elle regroupe environ 70 % des hélicoptères de l'Armée française.