Buis-les-Baronnies
commune française du département de la Drôme / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Pour les articles homonymes, voir Buis (homonymie).
Buis-les-Baronnies [bɥi le baʁɔni] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Buis-les-Baronnies | |||||
Vue d'ensemble. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Sébastien Bernard 2020-2026 |
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Code postal | 26170 | ||||
Code commune | 26063 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Buxois, Buxoises | ||||
Population municipale |
2 258 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 67 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 16′ 35″ nord, 5° 16′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 319 m Max. 1 080 m |
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Superficie | 33,74 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription Canton de Buis-les-Baronnies (avant mars 2015) |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://www.buislesbaronnies.fr/ | ||||
modifier |
Ses habitants sont dénommés les Buxois(es).
Localisation
La commune de Buis-les-Baronnies est située dans les Baronnies, une région naturelle et historique du Dauphiné et de la Drôme provençale.
Limitrophe du Vaucluse, elle est située au sud-est de Nyons.
Les communes limitrophes sont Beauvoisin, Bésignan, Eygaliers, La Penne-sur-l'Ouvèze, Propiac, Rochebrune, La Roche-sur-le-Buis, Sainte-Jalle, Vercoiran et Saint-Léger-du-Ventoux.
Rochebrune Beauvoisin |
Sainte-Jalle | Bésignan Vercoiran |
||
Propiac | N | La Roche-sur-le-Buis | ||
O Buis-les-Baronnies E | ||||
S | ||||
La Penne-sur-l'Ouvèze | Saint-Léger-du-Ventoux Vaucluse |
Eygaliers |
Relief et géologie
Hydrographie
La commune est arrosée par :
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat d'Auvergne-Rhône-Alpes et Climat de la Drôme.
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 872 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 0,4 | 3,2 | 5,7 | 9,4 | 13 | 15,3 | 15,2 | 11,8 | 8,6 | 4,2 | 1,2 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 6,1 | 6,6 | 9,9 | 12,6 | 16,5 | 20,6 | 23,4 | 23,3 | 18,9 | 14,8 | 9,7 | 6,5 | 14,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,5 | 12,8 | 16,6 | 19,5 | 23,6 | 28,2 | 31,5 | 31,3 | 26 | 21 | 15,2 | 11,8 | 20,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−8,8 11.01.10 |
−9,6 05.02.12 |
−10 02.03.05 |
−3,5 14.04.1998 |
−0,3 05.05.1991 |
4,3 06.06.1989 |
6,9 03.07.1996 |
7,1 30.08.1996 |
1,7 27.09.10 |
−2,1 30.10.1997 |
−7,2 23.11.1999 |
−10,2 20.12.01 |
−10,2 2001 |
Record de chaleur (°C) date du record |
23,6 10.01.15 |
24,2 28.02.19 |
27,5 31.03.12 |
30,4 08.04.11 |
34,4 24.05.09 |
44 28.06.19 |
39,7 31.07.20 |
41 12.08.03 |
36,9 17.09.19 |
31,8 12.10.11 |
25,3 04.11.10 |
21,1 16.12.15 |
44 2019 |
Précipitations (mm) | 57,5 | 44 | 49,2 | 68,2 | 63,8 | 51,1 | 36,7 | 49,2 | 98 | 103,9 | 111,2 | 60 | 792,8 |
Voies de communication et transports
La route des Princes d'Orange : Buis-les-Baronnies est situé sur cet itinéraire autrefois emprunté par les princes d'Orange (dynastie qui régna sur Orange de 1115 à 1702) pour rejoindre leur baronnie d'Orpierre.
Typologie
Buis-les-Baronnies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Buis-les-Baronnies, une unité urbaine monocommunale[10] de 2 302 habitants en 2017, constituant une ville isolée[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), cultures permanentes (12 %), zones urbanisées (3,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La ville est situé au pied de l'arête crénelée du rocher Saint-Julien ; elle s'étend au milieu de prairies et de belles oliveraies[réf. nécessaire].
Hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[16] :
- Aubagne
- Bergerie de Foulon
- Chapelle Saint-Martin
- Cost
- Du Brusquet
- Ferme de Férus
- Ferme de Proyas
- Ferme de Saint-Denis
- la Bouscaude
- la Durière
- la Gardette
- la Grange des Bois
- la Nible
- la Reynarde
- la Saffrette
- la Savouillanne
- le Flachier
- le Font d'Annibal
- le Menon
- le Moulin de Cost
- le Pont Neuf
- le Romégas
- les Brugières
- les Jonchiers
- les Péchières
- Saint-Trophine (chapelle)
- Sans Regret
- Vertégoux
- Villecroze
Anciens quartiers :
- Aiguille est un quartier attesté en 1891[17].
- l'Adret-de-Saint-Julien est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé in Adrechiis en 1520 (terrier de Mévouillon)[18].
- l'Aire-de-la-Cour est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé Aream Curie en 1520 (terrier de Mévouillon)[19].
- les Aires est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé Las Ares en 1498 (inventaire de la chambre des comptes)[20].
Logement
Projets d'aménagement
Risques naturels et technologiques
La commune est dénommée Lo Bois dei Baroniás en occitan ou Lo Bois dei Baronias en provençal alpin[réf. nécessaire].
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[21] :
- 1221 : claustrum de Buxo (cartulaire des Templiers, 125).
- 1222 : mention de l'église de la paroisse du Buis : ecclesia de Bucxo (cartulaire des Templiers, 131).
- 1283 : mention du mandement : mandamentun Buxi (inventaire des dauphins, 228).
- 1293 : castrum de Buxo (Valbonnais, I, 35).
- 1300 : mention du magistrat (bailli) chargé de rendre la justice à tous les vassaux des Mévouillons : bajulus Buxi (Valbonnais, II, 102).
- 1400 : Boix (choix de documents, 235).
- 1447 : Le Bois et Le Boys (Statuta Delphin.).
- 1549 : Le Boix (rôle de tailles).
- 1705 : Le Buix (dénombrement du royaume).
- 1788 : Le Buis (alman. du Dauphiné).
- 1850 : Buis-les-Baronnies (décret du 24 juillet 1850).
- 1891 : Le Buis-les-Baronnies, commune de l'arrondissement de Nyons.
Non daté[réf. nécessaire] : Buis-les-Baronnies(l'article défini n'est plus prononcé).
Étymologie
Ce toponyme dériverait de l'occitan bois, « buis »[22], arbuste de la famille des Buxacés (ou du provençal médiéval bois (prononcez : boïs)[réf. nécessaire]).
Les Baronnies sont une région naturelle et historique qui s'étend entre le sud-est de la Drôme, l'ouest des Hautes-Alpes et le nord de Vaucluse.
Protohistoire
Le Buis est l'ancienne capitale de la tribu gauloise des Boxsani (confédération des Voconces)[réf. nécessaire].
Antiquité : les Gallo-romains
Le futur mandement du Buis est probablement habité par les Bocx(ani), mentionnés avec les Noiomagenses (habitants de Nyons) dans une inscription découverte à Tain[21].
Le lieu est appelé Arx Apollinaris par les Romains[23].
Du Moyen Âge à la Révolution
D'une manière générale, à partir du XIe siècle, les villages des Baronnies dépendent de la baronnie de Mévouillon et de la baronnie de Montauban[réf. nécessaire].
1178 : les seigneurs de Mévouillon sont les vassaux directs de l'empereur Frédéric Barberousse[réf. nécessaire].
La seigneurie : elle ne comprenait que la paroisse du Buis[21] :
- Possession des barons de Mévouillon, dont elle est la capitale.
- 1317 : la terre passe aux dauphins.
- 1422 : passe aux Avaugour.
- 1553 : passe aux Vadel.
- 1643 : passe aux princes de Monaco, derniers seigneurs.
XIIe siècle : l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Sancte Marie de Projactis (actuellement Saint-Denis-de-Projat) et l'église Saint-Julien, dont elle percevait les revenus[24].
Du temps des barons de Mévouillon, Buis-les-Baronnies était la résidence du magistrat chargé de rendre la justice à tous leurs vassaux[21].
(Après son annexion au Dauphiné, en 1317, Le Buis deviendra le siège d'un bailliage (1336 : bayllivia baroniarum montis Albani et Medullioni (Valbonnais, II, 320)) dont le ressort comprenait tout l'arrondissement de Nyons et quelques communes des cantons de Grignan et de Dieulefit[21]. À partir de 1447, ce tribunal, appelé bailliage du Buis, n'aura plus qu'un vibailli à sa tête [réf. nécessaire]).
Depuis 1270, les Mévouillon sont endettés : en 1288, Raymond VI de Mévouillon donne une charte de franchise aux habitants[réf. nécessaire]. Cette charte de libertés sera confirmée en 1337 par les dauphins[21].
1291 : Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie à Jean de Genève, évêque de Valence et de Die. La vente pour 6 000 livres tournois est ratifiée par le traité de Chamaloc, signé le 16 août 1291[réf. nécessaire]. Cet acte de vente n'est pas reconnu par Raymond V de Mévouillon car il est contraire aux dispositions testamentaires de Raymond IV de Mévouillon qui interdisait l'aliénation du domaine. Raymond VI de Mévouillon est condamné[réf. nécessaire].
Le 10 juillet 1293, Raymond VI de Mévouillon vend sa baronnie au dauphin qui profite de son endettement. Raymond de Mévouillon a confié ses castra au dauphin à condition de pouvoir les reprendre en fief franc, noble et antique, et à fidélité non lige[réf. nécessaire].
Concernant le reste des Baronnies, en 1294-1295, le domaine de Montauban est cédé au dauphin par Hugues Adhémar, héritier de Roncelin de Lunel[réf. nécessaire].
1309 (démographie) : 3500 habitants[21].
Vers 1310, on compte 700 maisons, soit environ 3 500 habitants[25],[26],[27].
1317 : les Baronnies passent définitivement sous le contrôle des dauphins[réf. nécessaire].
La partie orientale a été l'objet de négociations avec les comtes de Provence qui y avaient des intérêts[réf. nécessaire].
Le Buis fut la ville préférée des dauphins de Viennois[réf. nécessaire].
Humbert II signe plusieurs de ses chartes au Buis. La ville avait alors 3 500 habitants ce qui, pour l'époque, représente une grande cité[réf. nécessaire].
1347 : la peste y fait des ravages. La moitié de la population périt[réf. nécessaire].
1349 : le Dauphiné est vendu au royaume de France.
Louis XI repeuple la ville en y attirant des reitres allemands avec leurs familles et en fait le siège d'un bailliage. En 1447, il y annexe la cour de justice de Nyons[réf. nécessaire].
Les guerres de Religion font beaucoup de mal au Buis[réf. nécessaire].
La baisse de la population est citée en 1656. Elle s'est accélérée après la révocation de l'édit de Nantes en 1685[réf. nécessaire].
1720 (démographie) : 400 chefs de familles[21].
1762 (démographie) : le conseil de ville déclare que la population est réduite à 400 habitants[28].
Avant 1790, le Buis était une communauté de l'élection de Montélimar, chef-lieu de subdélégation et de bailliage.
Elle comprenait trois paroisses : le Buis, Proyas et Ubrieux[21] :
- La paroisse du Buis en particulier était du diocèse de Vaison, et son église, sous le vocable de Notre-Dame de Nazareth, était celle d'un prieuré qui, connu en 1221, fut uni dès le XVIe siècle à la charge de capiscol du chapitre cathédral de Vaison. Son titulaire perçut, de ce chef, les dîmes de la paroisse du Buis jusqu'à la Révolution.
- Il y avait en outre, dans cette ville, un couvent de dominicains fondé en 1294 par les barons de Mévouillon. En 1891, les bâtiments servent de mairie et de collège.
- Il y avait aussi un monastère d'ursulines fondé en 1643. En 1891, c'est un hôpital.
Le mandement du Buis ne comprenait que les paroisses du Buis et de Proyas. La paroisse d'Ubrieux formait un mandement séparé[21].
De la Révolution à nos jours
En 1790, le Buis devient le chef-lieu d'un canton comprenant le Buis et la Roche-sur-Buis, et celui d'un district comprenant les cantons du Buis, de Mirabel, de Mollans, de Montauban, de Montbrun, de Nyons, de Rémuzat et de Vinsobres[21].
La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait un simple chef-lieu de canton, comprenant les communes de Beauvoisin, Bellecombe, Bénivay, Bésignan le Buis, Eygaliers, Mérindol, Mollans, Ollon, la Penne, Pierrelongue, Plaisians, le Poët-en-Percip, Propiac, Rioms, Rochebrune, la Roche-sur-Buis, la Rochette, Saint-Auban, Sainte-Euphémie, Sainte-Jalle, Saint-Sauveur, Vercoiran[21].
La Révolution lui porte un coup fatal en lui enlevant toute son administration qui est transférée à Nyons[réf. nécessaire].
1811 : des platanes sont plantés pour la naissance du roi de Rome (fils de Napoléon I)[23].
Au milieu du XIXe siècle, des tilleuls sont plantés en nombre et devinrent la spécialité de Buis-les-Baronnies[réf. nécessaire].
En 1907, la ville est reliée à Orange par une ligne de chemin de fer à voie métrique dont elle accueille la gare terminus[29]. Le service des trains a pris fin en 1952 et la ligne a été démantelée[30].
La gare est aujourd'hui un centre des finances publiques[31],[32].
Seconde Guerre mondiale
Histoire récente
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire | ||||
1790 | 1871 | ? | ||
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire | ||||
1871 | ? | |||
1874 | ? | |||
1878 | ? | |||
1884 | ? | |||
1888 | ? | |||
1892 | ? | |||
1896 | ? | |||
1900 | ? | |||
1904 | ? | |||
1908 | ? | |||
1912 | ? | |||
1919 | ? | |||
1925 | ? | |||
1929 | ? | |||
1935 | ? | |||
1945 | ? | |||
1947 | ? | |||
1953 | ? | |||
1959 | ? | |||
1965 | ? | |||
? | ? | Aimé Buix | PCF | conseiller général (1945-1951) |
1971 | 1977 | René Jouve | SFIO-PS | conseiller général (1955-1976) |
1977 | 1983 | Raymond Argenson | PS | |
1983 | 1989 | Georges Bec | UDF | conseiller général (1976-1988) |
1989 | 1995 | Raymond Argenson | PS | |
1995 | 2001 | Jean-Pierre Buix | PCF | |
2001 | 2008 | Jean-Pierre Buix | maire sortant | |
2008 | 2014 | Jean-Pierre Buix | maire sortant | |
2014 | 2020 | Sébastien Bernard | PS | conseiller juridique |
2020 | En cours (au 18 janvier 2021) |
Sébastien Bernard[33][source insuffisante] | maire sortant |
Rattachements administratifs et électoraux
Administrativement la commune est comprise dans l'arrondissement de Nyons, dans le canton de Nyons et Baronnies.
Elle est également une commune adhérente de la Communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale.
Politique environnementale
Finances locales
Jumelages
Villes jumelées avec Buis-les-Baronnies.