Couillet
section de Charleroi, Wallonie (Belgique) / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Couillet (en wallon Couyet) est une section de la ville belge de Charleroi située en Wallonie dans la province de Hainaut.
Couillet | |||||
Maison communale. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Charleroi | ||||
Commune | Charleroi | ||||
Code postal | 6010 | ||||
Zone téléphonique | 071 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Couilletois(e)[1] | ||||
Population | 11 458 hab. (1/1/2022[2]) | ||||
Densité | 2 292 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 39″ nord, 4° 28′ 02″ est | ||||
Superficie | 500 ha = 5,00 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation de Couillet dans la commune de Charleroi | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977. Elle comptait environ 11 500 habitants en 2022.
Le toponyme de Couillet est issu de l'Antiquité. Il vient de Culiacum (déjà mentionné en l'an 840), c'est à dire le domaine de Culius (nom gallo-romain)[3].
Si on s'en tient à la construction de ce toponyme, l'on a Culius et le suffixe « ac » indiquant un nom de lieu d’origine gauloise[4].
Le village est très ancien et semble avoir été occupé depuis l'Antiquité ainsi que l'attestent différentes fouilles archéologiques et son toponyme. Culiacum est cité pour la première fois sous le nom de « Culiacum ad Sabium » (Culiacum sur Sambre) dans une charte en faveur du chapitre de l'abbaye de Nivelles en 840. Il est de nouveau cité en 966 dans un diplôme d'Othon Ier. Géographiquement, il était implanté sur les collines qui bordent la rivière Sambre, lieu qui portait le nom de « Fiest-haut »[5].
Jusqu'en 1796, Couillet fait partie de la Principauté de Liège. C'est sur la colline du Fiest-haut que les religieux prémontrés bâtissent en 1161 la première église de Couillet dédiée à sainte Catherine. Au début du XVe siècle, l'église Sainte-Catherine ainsi qu'un grand nombre de maisons sont brûlés par le comte Jean III de Namur en lutte avec la Principauté de Liège[5]. La paroisse dévastée et dépeuplée est réunie à celle de Marcinelle. En 1520, les habitants sollicitent la séparation de la communauté de Couillet et celle de Marcinelle[6]. Un château[7] est construit en 1545 à quelques mètres de l'église[6][8]. En 1579, Couillet redevient une paroisse autonome de celle de Marcinelle. En 1660, l'établissement d'une fonderie est autorisé à Couillet. Les derniers seigneurs de Couillet avant la Révolution française sont les Thibaut. De l'époque seigneuriale, il reste des châteaux dont l'un est nommé « La Tourette », donjon bâti au XVIe siècle que l'on trouve au bas de la place communale, l'autre avec ses tourelles se situe à côté de l'endroit dénommé « Les verreries »[5].
En 1796, les guerres engendrées par la Révolution française ont pour conséquence l'annexion de la Principauté de Liège (et donc de Couillet) au territoire français. Les révolutionnaires français rebaptisent le village en « Violette-sur-Sambre », voulant d'une part marquer la rupture avec le passé principautaire et d'autre part associer Couillet à son aspect encore poétique et agreste.
C'est à Couillet qu'Ernest Solvay installe sa première usine de soude au XIXe siècle. L'usine est désormais complètement rasée. Seul subsiste le Casino Solvay, dernier vestige de la volonté sociale de ce précurseur.
Au début de la Première Guerre mondiale, le , l'armée allemande exécute 18 civils et détruit 406 bâtiments. L'unité en cause est le 19e division d'infanterie de réserve. Ces événements font partie des Atrocités allemandes en 1914[9]. Le , la commune a donné son nom à un traité signé au château de Parentville. Ce traité est en réalité une lourde indemnité de guerre imposée à la ville de Charleroi et aux communes environnantes par le général allemand Max von Bahrfeldt.
Particulièrement développée avant les années 1960 grâce aux aciéries et aux charbonnages, la localité n'est plus que le reflet de son lustre passé depuis la fermeture de ses industries lourdes et extractives.
En 1977, Couillet fusionne avec 14 autres communes pour former l'entité de Charleroi.
Géographie physique
Le paysage de Couillet est assez vallonné, son altitude se situant entre 100 m et 200 m. Le nord de la localité est bordé par la Sambre qui marque la limite avec Montignies-sur-Sambre. Des anciens terrains industriels sont situés le long de la Sambre.
Les coteaux de la Sambre et le plateau de Couillet à la limite de Loverval sont notamment constitués en sous-sol de roche calcaire. Une carrière y a été exploitée par la Société Solvay pour la fabrication de la soude caustique (procédé Solvay). Dans les dépressions karstiques à la limite avec Châtelet, on trouve des dépôts sableux de la Formation de Couillet qui contiennent de minces couches argileuses. Dans le passé, le sable fin argileux de la Formation de Couillet était destiné aux fonderies. Mélangé avec le sable d’Erquelinnes sous-jacent, il servait au moulage des pièces métalliques[10].
La présence dans le sous-sol de Couillet de houille à proximité de la Sambre a également permis le développement d'une activité minière et de charbonnages (Puits Sainte-Marie à Fiestaux et Puit n°5 dit du « Pêchon », à la limite avec Marcinelle).
Hydrographie
Couillet est traversé par :
Quartiers
Couillet est divisé en plusieurs quartiers :
- Le village, quartier qui se situe au nord où se trouve la maison communale. Le quartier fut séparé en deux en 1843 par le passage du chemin de fer (ligne Charleroi-Namur)[11]. Le village ne sera plus relié au sud de la localité que par deux embranchements carrossables et deux passages souterrains pour piétons[11],
- Couillet-centre, quartier en face du chemin de fer où est édifiée l'église Saint-Basile. Ce qui devait devenir le quartier du centre faisait originellement partie du quartier du Village[12],
- Couillet-queue, quartier au sud traversé par la nationale 5,
- Les Fiestaux, le plus ancien des quartiers de la commune où l'on a connu les premières présences humaines[13]. Dès 1845, le Fiestaux représente déjà un tiers de la superficie de la commune allant de l'altitude 140 à 190 mètres[14],
- Les Fougères (ou Hublinbu),
- La Citadelle,
- Le Bavéry, il se situe à l'est où se trouve l'ancienne Amicale Solvay. On a supposé que le bois qui couvrait cet endroit traversé par un ruisseau pourrait avoir été la propriété d'une famille Bavet ou Bavay[15].
- L'Amérique, il se situe à droite de la Nationale 5,
- Bois des Cloches,
- Les Quatre-Bras, au carrefour de la Nationale 5,
- Les Hauchies. C'est le carrefour actuel des rues Destrée, Bellière et Huart-Chapel sur Marcinelle et de Châtelet sur Couillet qu'une chaussée de l'époque romaine franchissait le ruisseau à gué[16]. Après 1825, le Chemin de Dinant s'appela le Chemin de Philippeville parce qu'il joignait la nouvelle route de Philippeville, aux cinq chemins actuels et bien connus de Couillet[17].
Cités
- Cité du Congo. Se situe au quartier des Fiestaux.
- Cité Solvay. Au sud du R3.
- Cité de l'Amérique, il se situe dans le quartier de la Queue.
Domaine
- Domaine de Parentville, en 1860, Basile Parent, enfant de Couillet ayant fait fortune en France, acheta aux héritiers de Cartier-Bosquet, 28 hectares de biens qu'il réserva à ses frères et sœurs restés au village. Il fait construire un château[18].
- L'église Saint-Laurent, bâtie à partir du XIe siècle, repose sur les restes d'un sanctuaire carolingien. L'église a été restaurée à la fin du XIXe siècle par Auguste Cador, qui modifie l'ensemble. L'église a été restaurée en 1949-1950 par l'architecte Simon Brigode.
- L'église Saint-Basile. Fut construite par la générosité de Basile Parent. Edifice néo-gothique en brique et calcaire bâti par l'architecte A. Quinet en 1865-1867[20]. Fermée pour cause de crainte d'effondrements en 2000.
- La « Tourette », bâtie au XVIe siècle, bâtiment de briques et de pierre avec une tour d'angle qui se situe sur la place Communale.
- L'ancienne maison communale, elle se situe dans le quartier du « Village » à proximité de l'église Saint-Laurent. Elle est édifiée en 1882.
- Le château Parent ou de Parentville, sur les hauteurs de Couillet ancienne demeure de Basile Parent. Aujourd'hui un musée sur la science.
- L'Amicale Solvay à Couillet et à Jemeppe-sur-Sambre. Bâtie en 1937 à 1939 par l'architecte Cozac et abritait avant une piscine et un casino.
- Église Notre-Dame du Rosaire, édifiée en 1914 par l'architecte Hector Pierard, elle se situe dans le quartier de l'Amérique.
- Église du Sacré-Cœur, construite en 1954, dans le quartier des Fiestaux.
Monuments
- Monument aux morts, édifié en 1920, à proximité de l'église Saint-Basile.
- Monument du traité de Couillet, rue de Villers.
- Monument aux victimes des bombardements et aux fusillés en 1944.
Curiosités
Réseau communale de Charleroi
- Fond Jacques.
- Fougères.
- Centre (école Alphonse Vaisière).
- Académie de Couillet.
- CECS, route de Philippeville.
Autres écoles
- École Notre-Dame de Loverval section Couillet (maternel et primaire).
- École fondamentale libre Saint-Joseph.
L'imposante statue métallique trônant devant le centre culturel de Couillet et représentant Persée est l'œuvre de l'artiste Giuseppe Miggiano.
Centre culturel de Couillet, inauguré en 1971. Il se situe à l'entrée du parc près de l'église Saint-Basile.
Folklore
- Marche Saint-Laurent, tous les deuxième dimanche d'août, cette marche est créée en 2012.
Musée
- Centre de Culture Scientifique de l'Ulb à Charleroi-Parentville.
Théâtre
- Cercle wallon de Couillet, au centre culturel.
Couillet était un village semi-agricole et semi-forestier, au fil du temps la localité a évolué vers une vocation industrielle (verreries, hauts-fourneaux, charbonnages).
En 1863, Couillet est la première commune belge qui voit l'installation de la première usine appartenant à la Société Solvay & Cie spécialisée dans la chimie. En 1998, ce site historique est désaffecté, Solvay y arrêtant la seule activité qui y subsistait, la production de chlorure de calcium.
La présence dans le sous-sol de Couillet de houille a permis dans un premier temps le développement d'une activité minière et de charbonnages (Puits Sainte-Marie à Fiestaux, fermé en 1956 et Puit n°5 dit du « Pêchon », à la limite avec Marcinelle, siège de la société Monceau-Fontaine). Bénéficiant d'un approvisionnement bon marché à proximité, l'industrie métallurgique s'est ensuite installée. C'est ainsi qu'on trouvait à Couillet, les Usines Métallurgiques du Hainaut et la Société anonyme des Hauts-Fourneaux et Charbonnages de Marcinelle et Couillet. Ces deux secteurs d'activité ont connu le déclin qui ont entraîné à la fermeture des charbonnages et des usines dans les années 50 et 70. Du Puit n°5 dit du « Pêchon », ne restent que les deux chevalements du puits. La fermeture des industries a entraîné une décroissance de la population.
En 2013, est construit à Couillet un grand centre de tri automatisé des déchets PMC dénommé Valtris qui dépend de l'intercommunale de collecte et de destruction des immondices (ICDI) de la région de Charleroi désormais appelée Tibi. En , le centre Valtris de tri de déchets est modernisé, permettant grâce à sa technologie de pointe, de séparer en 14 fractions distinctes le contenu du sac bleu de près de 1,7 million d’habitants des zones intercommunales de la province de Namur, de la province du Brabant wallon, de la province de Luxembourg et de la région de Charleroi[21].
Couillet dispose de commerces de quartier et d'un grand centre commercial dénommé « Bellefleur » en bordure du Ring R3.
1801 | 1846 | 1900 | 1947 | 1977[24] | 2001 |
---|---|---|---|---|---|
332 | 2 124 | 9 872 | 12 931 | 13 234 | 11 373 |
Blason de Couillet
Blasonnement : De gueules à trois étoiles à six rais d'or, au chef de même chargé d'une aigle issante de sable, couronnée d'or, becquée et languée de gueules[25].
|
Parc
- Parc communal de Couillet.
Cimetières
- Cimetière de Couille-centre.
- Cimetière des Fiestaux.
Maison de repos ; Résidence "Au R'cwè du Vî Clotchi", rue de Gilly faisant partie du C.P.A.S. de Charleroi.
- Club de Tennis de Table Buffalo Couillet.
- Football : Royale Charleroi Fleurus.
Infrastructures
- Stade Les Tourterelles.
- Stade du Fiestaux, où se trouvait la plaine de jeux Eugène Van Walleghem.
Liste des maires et bourgmestres avant l'indépendance de la Belgique.
- De 1792 à 1797 : Paul Des Champs (bourgmestre puis maire)
- De 1797 à 1800 : Joseph Lebon (maire)
- De 1800 à 1817 : Jean Baptiste Bosquet (maire puis bourgmestre).
- De 1817 à 1824 : Théodore François de Thibault (bourgmestre).
- De 1824 à 1830 : Frédéric de Dorlodot (bourgmestre).
Liste des bourgmestres depuis l'indépendance de la Belgique jusqu'au rattachement de Couillet à Charleroi :
- 1830 - 1848 : Frédéric de Dorlodot
- 1848 - 1855 : Fortuné Danhieux
- - : Ambroise Bolle
- - : Alexandre de Thibault
- 1er octobre 1886 - : Louis Rainson
- - 1er août 1905 : Gustave Quinet
- 1er juillet 1905 - : François Debroux, bourgmestre faisant fonction
- - : Charles Pehon, bourgmestre faisant fonction
- - : Edmond Deschamps
- - : Eugène Van Walleghem
- - : Edmond Deschamps, bourgmestre faisant fonction
- 1942 - : Couillet est intégré dans le Grand Charleroi (ne pas confondre avec le "Grand Charleroi" d'après la fusion des communes de 1977)
- 1er juin 1964 - : Georges Xavier Monard, bourgmestre faisant fonction puis bourgmestre
- 1er janvier 1965 - : Georges Lambermont.
- Scholastique Dussart (la veuve Dubois). C'est à la suite de son assassinat que Jan Coucke et Pieter Goethals furent condamnés à la peine capitale.
- Basile Parent (1807-1866), entrepreneur et industriel dans les chemins de fer en Belgique et en France. Né à Couillet.
- Victor Tahon y habitait en 1883. Il y a reçu l'académicien français Victor Cherbuliez.
- Élie Baussart (1887-1965), militant wallon, né à Couillet[26].
- Paul Lebeau (1925-2012), jésuite théologien et œcuméniste né à Couillet.
- Hôtel de Ville (1882)[27].
- Monument allemand "Den Kameraden" inauguré le 22 août 1915 pour commémorer la bataille de la Sambre d'août 1914. Il est dynamité le 11 novembre 1920.
- Amicale Solvay (1937-1939)[28].
- L'usine Solvay en 1939.
- Chevalements du puits n° 25 du charbonnage de Monceau Fontaine, dit Le Pêchon.
- Le monument aux morts, place Basile Parent.
- Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
- Jean-Jacques Jespers, Le nouveau dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, Bruxelles, Éditions Racine, , 750 p. (ISBN 978-2-87386-733-1), p. 223
- Robert Geuljans, « ac, dans les noms de lieux », sur étymologie-occitane.be, (consulté le )
- Alfred Jourdain, L. Van Stalle, Dictionnaire encyclopédique de géographie historique du royaume de Belgique, vol. 2, Bruxelles, Bruylant - Christophe, (lire en ligne), p. 19
- Lardinois 2006, p. 41.
- Le château a été démoli en 1906 pour faire place aux ateliers et forges.
- C'est l'église Saint-Laurent.
- John Horne et Alan Kramer, 1914 Les atrocités allemandes, Tallandier, , 640 p. (ISBN 2-84734-235-4), p. 479.
- Bernard Delcambre et Jean-Louis Pingot, « Fontaine-L'Evêque - Charleroi », sur geologie.wallonie.be/, (consulté le )
- Lardinois 2006, p. 42.
- Lardinois 2006, p. 54.
- Lardinois 2006, p. 11.
- Lardinois 2006, p. 12.
- Lardinois 2006, p. 57.
- Lardinois 2006, p. 96.
- Lardinois 2006, p. 97.
- Lardinois 2006, p. 99.
- Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 102-104
- « VALTRIS triera votre Nouveau Sac Bleu à partir de ce 1er juillet 2021 ! », sur Ministre de l'Environnement, de la Nature, de la Forêt, de la Ruralité et du Bien-Être animal, (consulté le )
- Sauf 1977 - Michel Poulain (dir.), Ville de Charleroi : Atlas géostatistique des quartiers, Charleroi, , p. 55
- 1977 - Pierre-Jean Schaeffer, Charleroi 1830-1994, Histoire d'une Métropole, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, , 466 p. (ISBN 2-930014-42-3), p. 337
- Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 217
- Willy Bal, « Baussart (Elie-Jules-Ghislain) », dans Biographie nationale, t. 39, Bruxelles, Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, (lire en ligne [PDF]), p. 94.
- Jean-Louis Delaet, Rina Margos et Chantal Lemal-Mengeot, Hôtels de Ville et Maisons communales de Charleroi, Ministère de la Région wallonne et Ville de Charleroi, coll. « Carnets du patrimoine » (no 11), , 64 p., p. 21-24
- Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 104-105
Sur les autres projets Wikimedia :
- Couillet, sur Wikimedia Commons
Articles connexes
Bibliographie
- Redécouvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Couillet, Charleroi, Espace Environnement, , 18 p. (lire en ligne)
- n.c. (Ministère de la Communauté Française, Administration du Patrimoine Culturel), Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0 et 978-2-8700-9588-1, OCLC 312155565, lire en ligne)
- Alfred Bolle, Notice historique sur Couillet, 54 p. (lire en ligne)Document édité en 1968 pour le centenaire des Sociétés Royales des Décorés et des Amis du Progrès. Texte revu par Ghislain Abe.
- Emmanuel Brutsaert (Rédacteur en chef), Gilbert Menne (Secrétaire d'édition) et Johan De Meester (Mission photographique), Histoire et patrimoine des communes de Belgique : Province du Hainaut, Bruxelles, Éditions Racine, , 608 p. (ISBN 978-2-87386-599-3), p. 148-149
- Yves Lardinois, Regard sur Couillet, iph éditions, , 110 p. (ISBN 2-930336-73-0).
- André Lépine, « Les charbonnages du Pays noir en cartes postales anciennes », Cercle d'Histoire de Cerfontaine, no 503,
- Alfred Bolle, Couillet en cartes postales anciennes, Zaltbommel, Bibliothèque Européenne, , 76 p.