Féminisme pro-vie
De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Le féminisme pro-vie ou féminisme anti-avortement est une sous-culture du féminisme qui s'oppose à l'avortement. Le mouvement est suivi et soutenu par une minorité de féministes principalement dans les pays anglo-saxons. Les féministes pro-vie estiment que l'opposition à l'avortement constitue une partie intégrante de la défense du droit des femmes, soutenant la thèse que l'avortement nuit aux femmes plus qu'il ne leur profite[1].
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Le mouvement féministe pro-vie trouve ses racines au 19e siècle, bien que le mouvement ait commencé à prendre de l'ampleur dans sa forme actuelle entre le début et le milieu des années 1970 avec la fondation de Feminists for Life (FFL) aux États-Unis et de Women for Life en Grande-Bretagne, dans le contexte de changements juridiques dans ces pays qui autorisaient déjà largement l'avortement[2]. FFL et la Susan B. Anthony List (SBA List) sont les organisations féministes pro-vie les plus influentes aux États-Unis. Parmi les autres organisations féministes anti-avortement figurent New Wave Feminists et Feminists for Nonviolent Choices.
En France, le mouvement féministe pro-vie n'est soutenu par aucune association féministe notable et trouve ses racines dans des communautés catholiques liées à la marche pour la vie, constituant une sous-culture marginale et décriée du féminisme[3].