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Avant la compétition, ce groupe est considéré comme un groupe de la vie. C'est-à-dire que les équipes de cette poule sont en majorité des équipes considérées faibles. En effet, la Russie, demi-finaliste de 2008, est la seule équipe prétendante du groupe au titre suprême considérée comme un danger pour les favoris des autres groupes[1] après être restée invaincue presque une quinzaine de matchs et avoir battu l'Italie 3-0 en match de préparation[2]. La Pologne, pays hôte, dont la seule participation à un Euro remonte à 2008 où la sélection nationale était partie dès le premier tour avec un seul point, fait figure de favori pour la deuxième place grâce à son statut de résidence [3].
: Les Polonais dominateurs ouvrent le score, mais l'égalisation de la Grèce, puis l'exclusion de leur gardien qui provoque un penalty met fin à leurs espoirs de victoire et doivent se contenter d'un nul.
: Avec un excellent Malafeïev aux cages et une attaque séduisante dont les lignes coulissent avec fluidité vers le but, la Russie corrige lourdement la République tchèque 4-1 et prend seule la tête du groupe. Cependant, après le match, une bagarre se déroule en dehors du terrain et des supporters russes y sont impliqués. La Russie sera sanctionnée de 6 points pour les éliminatoires de l'Euro 2016[4] jusqu'à la modification de la sanction en août deux mois plus tard après un appel de la Fédération russe de football[5]. Mais ce match d'une très haute qualité offensive révèle les lacunes de la défense de la République tchèque et aussi le manque de concrétisation d'occasion de la Russie, lacune qui coûtera cher à la Sbornaïa dans les matchs qui suivront.
: La République tchèque se rattrape de sa défaite contre une Grèce toujours très forte défensivement, fidèle à elle-même, mais peu engagée. Cette-dernière est battue avec beaucoup de facilité en encaissant deux buts dans les six premières minutes, mais réussit à réduire le score sur un malentendu entre le gardien tchèque et son défenseur.
: Le pays hôte a failli ouvrir le score sur la Russie, mais un hors-jeu n'a pas permis la validation du but et la Russie a ouvert le score tout en gâchant de nouveau de nombreuses occasions. On pense à ce stade du match que la Russie est d'ores et déjà qualifiée pour les quarts. Mais ces gâchis d'occasion se paieront. Le pays hôte marque en seconde période avec une stratégie offensive beaucoup plus fluide tandis que la Russie perd toute communication au sein d'elle-même. Ce nul rééquilibre le classement de sorte que toutes les équipes puissent se qualifier lors de la dernière journée.
: La République tchèque se qualifie en cas de victoire et aussi en cas de nul si la Grèce ne remporte pas l'autre rencontre tandis que la Pologne est obligée de gagner. Les forces en présence se séparent sur un score nul à la fin de la première mi-temps, mais dans l'autre rencontre, la Grèce a ouvert le score à la surprise générale ce qui oblige la République tchèque à remporter le match pour se qualifier. Elle y parvient en seconde mi-temps. La Pologne, pays hôte, est éliminée dès le premier tour tout comme la Belgique en 2000, l'Autriche et la Suisse en 2008, l'Afrique du Sud en 2010 et bientôt l'Ukraine dans ce championnat de 2012.
: La Russie se qualifie en cas de victoire, de nul et même en cas de défaite si l'autre rencontre se finit sur un nul tandis que la Grèce est obligée de l'emporter. La Russie, bête noire de la Grèce qu'elle a battue en 2004 et éliminée en 2008, la domine finissant la première mi-temps avec 13 tirs pour les Slaves et 2 pour les Grecs mais ce qui n'a pas empêcher ces derniers de marquer dans le temps additionnel de la première mi-temps. Le favori est à ce moment-là encore qualifié à la tête du groupe puisque le score est vierge et nul dans l'autre rencontre, mais plus pour longtemps parce que la République tchèque marque contre la Pologne ce qui renvoie la Russie à la troisième place du groupe. Celle-ci continue de rater toutes ses occasions jusqu'à la fin du match et donc l'Euro avec. La Grèce rappelle l'exploit de 2004 en faisant de la Russie sa bête noire déchue. Du côté des slaves, un deuxième scandale va éclater à la fin de ce match. Les supporters russes sont écœurés et exigent d'Archavine, le capitaine de la Sbornaïa, des excuses. Ce-dernier refuse de s'excuser en disant que la Russie a bien joué et s'est montrée brillante malgré l'élimination et que si les supporters n'étaient pas satisfaits, c'était leur problème. La Fédération russe de football est sidérée par la réponse d'Archavine qui n'est plus considéré comme digne d'être capitaine de l'équipe nationale. En plus de ceci, le sélectionneur de la Russie, Dick Advocaat, est sévèrement critiqué après avoir déclaré qu'il ne voyait pas du tout en quoi le jeu de son équipe était imparfait. Cette polémique ajoutée au précédent scandale qui réduit temporairement les chances de qualification de la Russie à l'Euro 2016 fait de cet Euro la pire compétition internationale jamais vécue par les Slaves.
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