Hacking social
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Le hacking social, ou piratage social, décrit l'acte consistant à tenter de manipuler les résultats du comportement social par le biais d'actions orchestrées. Le but principal du piratage social est d'accéder à des informations restreintes ou à un espace physique sans autorisation requise.
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Le plus souvent, les attaques de piratage social sont réalisées en usurpant l'identité d'un individu (ou d'un groupe) — directement ou indirectement connu des victimes — ou en se faisant passer pour un individu (ou un groupe) en position d'autorité[1].
Cela se fait par des recherches préméditées et une planification visant à gagner la confiance des victimes. Les pirates sociaux prennent de grandes précautions pour présenter des signes de familiarité et de fiabilité afin d'obtenir des informations confidentielles ou personnelles[2]. Le piratage social est le plus souvent associé à une composante de « l'ingénierie sociale ».
Bien que la pratique implique d'exercer un contrôle sur le comportement humain plutôt que sur les ordinateurs, le terme « piratage social » est également utilisé en référence au comportement en ligne et, de plus en plus, à l'activité des médias sociaux. La technique peut être utilisée de multiples façons qui affectent la perception du public et, inversement, le sensibilisent davantage à l'activité de piratage social. Cependant, si la sensibilisation contribue à réduire le volume des piratages, la technologie a permis aux outils d'attaque de devenir plus sophistiqués.