Hubert Saint Girons
herpétologiste français / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Hubert Saint Girons né à Paris le et décédé le à son domicile situé à Bohallard, sur la commune de Puceul (Loire-Atlantique), est un histologiste et herpétologiste français, directeur de recherche au CNRS, spécialiste des Viperidae européens et des Sphenodontidae. Il a également étudié les lézards et serpents du monde entier lors de nombreuses missions à l’étranger ou dans les Territoires d'outre mer : Maroc, Cambodge, Nouvelle-Calédonie, Californie, Australie et Nouvelle-Zélande...
Président Société zoologique de France | |
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Directeur de recherche au CNRS |
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François Saint-Girons (d) |
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Distinction |
Admis comme membre en 1946, il devient président de la Société zoologique de France en 1987-1988. Il est élu membre honoraire de la Royal Society of New Zealand en 1978[1]. Deux espèces ont été nommées en son honneur : Laticauda saintgironsi en 2005 et Oligodon saintgironsi en 2008[2].
Il a publié près de 200 articles ; ses principaux sujets d’études sont la thermorégulation des reptiles, l’organe de Jacobson, l’écologie des serpents marins, la morphologie comparative de l’hypophyse des squamates, les rythmes d’activité circadiens chez les reptiles[3].
Outre leur histologie, H. Saint Girons a également étudié la thermorégulation chez les sphénodons dans des populations sauvages en Nouvelle-Zélande et leur cycle reproducteur[4].
Il a souvent accompagné son épouse Marie-Charlotte Saint Girons, mammologiste dans ses missions, notamment dans le Haut Atlas marocain et en Nouvelle-Zélande.