Johan Henric Kellgren
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Johan Henric Kellgren[1], né le 1er décembre 1751 à Floby et mort le à Stockholm, est un poète et dramaturge lyrique suédois, latiniste érudit et critique littéraire. C'est un représentant suédois de l'Aufklärung des pays du nord et de l'ère gustavienne.
Fauteuil 4 de l'Académie suédoise | |
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- | |
Johan Stenhammar (d) |
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Église Saint-Jacques (en) |
Nationalité | |
Formation |
Académie royale d'Åbo Katedralskolan (en) |
Activités | |
Enfant |
Henrik Kellgren (d) |
Membre de | |
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Personne liée |
Anna Maria Lenngren (ami) |
Kellgren étudie à l'université d'Abo[2], en Finlande qui était alors province suédoise. Il retourne à Stockholm en 1777 et devient le favori de Gustave III. Ils écrivent ensemble la tragédie La Reine Christine. Les poèmes et tragédies qu'il écrit sont sous l'influence du classicisme français et souffrent d'une certaine rhétorique. Ses poèmes étaient lus et commentés à la cour et certains comme Les Trois Grâces étaient inspirés des personnages de la cour[3].
Ses tragédies les plus connues sont Gustave Vasa et Gustave-Adolphe, ainsi que ses poèmes Mina Cöjeu (poème satirique), Ljusets fiender, ou Cantaten den 1. Januar 1789 (chant patriotique).
Ses œuvres complètes ont été éditées après sa mort en 1796.
- Prononcer Tchellgren
- Dont la comtesse Löwenhielm, maîtresse du duc de Sudermanie, et baronne Höpken
- Samlade skrifter, 3 tomes, 1re édition en 1796
- Correspondance avec Rosenstein et Clewberg, éditée en 1886-1887 et 1894
Bibliographie
- (nl) Edgar de Bruyne, G. B. J. Hiltermann et H. R. Hoetink, « Kellgren, Johan Henrik », dans Winkler Prins, vol. 12, , 6e éd. (lire en ligne), p. 8
- (sv) Göran Hägg, Den svenska litteraturhistorien, Stockholm, 1996