Le Blanc (Indre)
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Pour les articles homonymes, voir Le Blanc.
Le BlancÉcouter est une commune française et une sous-préfecture du département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Le Blanc | |||||
La mairie en 2012. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre (sous-préfecture) |
||||
Arrondissement | Le Blanc (chef-lieu) |
||||
Intercommunalité | Communauté de communes Brenne - Val de Creuse (siège) |
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Maire Mandat |
Gilles Lherpinière (DVC) 2020-2026 |
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Code postal | 36300 | ||||
Code commune | 36018 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Blancois | ||||
Population municipale |
6 204 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 38′ 04″ nord, 1° 03′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 140 m |
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Superficie | 57,61 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Le Blanc (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Le Blanc (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Blanc (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-leblanc.fr | ||||
modifier |
Localisation
La commune est située à l'extrême sud-ouest[1] du département de l'Indre.
Les communes limitrophes[1] sont : Saint-Aigny (3 km), Pouligny-Saint-Pierre (5 km), Concremiers (6 km), Mauvières (7 km), Ruffec (8 km), Douadic (9 km), Bélâbre (12 km) et Rosnay (14 km).
Les services préfectoraux[1] sont situés à Châteauroux (52 km), les autres sous-préfectures sont La Châtre (71 km) et Issoudun (79 km).
Lieux-dits, hameaux et écarts
Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Ages, Varennes, Avant, la Brassardière, les Chézeaux, Muant, Madrolles, la Molière, Nervaux, Vilnet et Beauregard[2].
Géologie et relief
Hydrographie
Le territoire communal est arrosé par la rivière la Creuse[2].
- La rivière la Creuse en 2011.
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat du Centre-Val de Loire et Climat de l'Indre.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Poitou-Charentes »[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,5 | 2 | 4,1 | 6,1 | 9,6 | 13,1 | 14,7 | 14,5 | 11,2 | 9 | 5,2 | 2,9 | 7,9 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6 | 9,2 | 11,8 | 15,5 | 19,1 | 21,2 | 21,1 | 17,3 | 13,6 | 8,8 | 5,9 | 12,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,6 | 10,1 | 14,2 | 17,5 | 21,3 | 25,2 | 27,7 | 27,6 | 23,4 | 18,2 | 12,4 | 9 | 17,9 |
Record de froid (°C) date du record |
−18,4 17.01.1985 |
−18 06.02.12 |
−10,5 01.03.05 |
−5,2 09.04.1977 |
−1,2 08.05.1974 |
3 02.06.1962 |
3,8 10.07.1948 |
3,8 03.08.1961 |
0,8 23.09.1954 |
−5,8 30.10.1997 |
−9,1 24.11.1956 |
−13 25.12.1963 |
−18,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 05.01.1999 |
26 21.02.1969 |
27,8 25.03.1955 |
32 30.04.05 |
34,6 28.05.1947 |
41,2 26.06.1947 |
43,3 28.07.1947 |
43,7 01.08.1947 |
38,9 04.09.23 |
33,1 01.10.23 |
24,8 08.11.15 |
21 04.12.1960 |
43,7 1947 |
Précipitations (mm) | 68,3 | 53,8 | 56 | 60,8 | 74,7 | 61,6 | 51,3 | 54,3 | 57,8 | 78,1 | 79,2 | 80,5 | 776,4 |
Paysages
Elle est située dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.
Milieux naturels et biodiversité
Typologie
Le Blanc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine du Blanc, une unité urbaine monocommunale[11] de 6 389 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Zonages d'études
La commune se situe dans l'unité urbaine du Blanc, dans l’aire urbaine du Blanc, dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[16].
Occupation des sols
Logement
Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :
Date du relevé | 2013 | 2015 |
---|---|---|
Nombre total de logements | 4 088 | 4 084 |
Résidences principales | 79,5 % | 78,1 % |
Résidences secondaires | 8,2 % | 8,8 % |
Logements vacants | 12,3 % | 13,1 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 53,5 % | 53,4 % |
Planification de l'aménagement
Projets d'aménagement
Voies de communication et transports
Voies de communication
Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 3, 10, 17, 27, 88, 119, 950, 951 et 975[18].
- Le pont de la Creuse (RD 951) en 2014.
- L'avenue Gambetta (RD 975) en 2011.
- Le panneau d'entrée d’agglomération en 2016.
Transports
Une gare de bifurcation desservait la commune, via les lignes ferroviaires de Port-de-Piles à Argenton-sur-Creuse, de Salbris au Blanc et de Saint-Benoît au Blanc. Sur cette dernière il y avait également la gare de Saint-Aigny - Le Blanc qui était située sur le territoire communal. La ligne du Blanc à Argenton-sur-Creuse via Saint-Benoît-du-Sault passait aussi par le territoire, cinq gares (Le Blanc-PO, Place du Marché, Place de la Palisse, Varennes et Beauregard-les-Ages) desservaient la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont celle de Montmorillon[18] (32 km), sur la ligne de Mignaloux - Nouaillé à Bersac et Argenton-sur-Creuse[18] (39 km), sur la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon.
Le Blanc est desservie par les trois circuits du réseau MiniBub[19],[20] ; par les lignes N, O, P et R du Réseau de mobilité interurbaine[21] ; par la ligne 4.3 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[22] et par la ligne 103 du réseau Lignes en Vienne[23].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[18], à 64 km.
- L'ancienne gare en 2011.
Énergie
La commune possède un poste source[24] sur son territoire qui est situé au lieu-dit la Ferrande.
- Le poste source en 2011.
Risques naturels et technologiques
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[25].
Qualité de l'environnement
Risques majeurs
Le territoire de la commune duBlanc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1996, 1999, 2013, 2016 et 2018[28],[26].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Brenne, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 018 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2961 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 1997, 2009, 2011, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[26].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[33].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Obliacensis en 968, Oblinco en 1159, Oblanc en 1209, Oublanc au XIVe siècle et Le Blanc à partir du XVe siècle[37].
Les formes anciennes montrent qu'elle n'a aucun rapport avec la couleur, mais serait à mettre en relation avec un thème pré-celtique *obl-, de sens obscur, et suffixe pré-celtique -incum[38].
Ses habitants sont appelés les Blancois[39].
Préhistoire
Antiquité
À la frontière du Berry, du Poitou et de la Touraine, Le Blanc doit son existence à la présence d'un gué permettant de traverser la Creuse, relativement large à cet endroit, et l'implantation d'un vicus en rive droite, sur un axe Bourges - La Rochelle assez fréquenté dans l'antiquité[37].
Moyen Âge
Dans l'état actuel de la recherche, Le Blanc n'apparaît qu'en 968, dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Cyprien de Poitiers, sous la forme de vicaria Obliacensis[37].
Le cours de la Creuse, partageant la ville jusqu'à la fin de l’Ancien Régime, a influencé toute son histoire. Plus récente, la ville Basse, au nord, s'est formée autour de l'église Saint-Génitour, le long de la voie romaine. Elle dépendait intégralement de la province du Berry.
La ville Haute, quant à elle, au sud, était partagée entre les provinces du Berry et du Poitou, division se manifestant par la présence de deux places fortes opposées : le château (des) Naillac, berrichon, et le château du Donjon, poitevin, aujourd'hui disparu. Longtemps donc, l'administration de cette cité fut particulièrement complexe et les dissensions vives.
Temps modernes
Le pont qui, au Moyen Âge, reliait les deux villes, est emporté par une crue en 1530. Pendant trois cents ans, le passage de la Creuse se fait par bac. Le pont ne fut reconstruit qu'au début du XIXe siècle, entraînant de grands travaux d'urbanisme qui donnèrent au Blanc son aspect actuel.
L’école de chirurgie du Blanc aurait été fondée par un descendant de François Le Proust du Ronday (1548-1615), jurisconsulte et cousin germain de Renée Le Proust de Niriau, femme de Jacques de Sainte-Marthe, médecin des rois Henri II, François II et Henri III et fils de Gaucher de Sainte-Marthe, médecin ordinaire de François Ier.
Révolution française et Empire
Époque contemporaine
Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans l’Indre. Contrairement aux départements voisins qui font appel aux communes, l’Indre réussit à les regrouper dans seulement trois, puis sept centres, ce qui permet un meilleur contrôle de cette population considérée comme dangereuse (notamment sur le plan sanitaire). Le Blanc est un des trois premiers centres[40]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[41]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui en facilite les conditions, mais une grande partie préfèrent rester. La fermeture du camp, prévue pour le , est repoussée au 1er juin. L’exode de juin 1940 concerne aussi ces réfugiés, qui une fois la campagne de France passée, reviennent. Le régime de Vichy les rassemble alors au camp de Douadic, surveillé par la police[42].
De 1940 à 1942, Le Blanc est ville de garnison du 27e régiment d’infanterie, régiment de Bourgogne et du 6e bataillon du génie de l’armée d’armistice[43]. En 1943 et 1944, elle l'est du Premier régiment de France (état-major et 1er bataillon). Au 44 route de Pouligny existait une maison close fréquentée par les soldats de la caserne Chanzy et accessoirement par Soutine.[réf. nécessaire]. Après la Libération et durant les années 50, on note une présence de l'armée de l'air, à la caserne Chanzy et à l'Entrepôt de l'Air 609 (EAA 609) sous la direction du lieutenant-colonel Marcel Guibert.
Début , le député-maire de la ville, Jean-Paul Chanteguet, en qualité de président du conseil de surveillance de l'hôpital, rencontrait le directeur de l'Agence régionale de santé, Jacques Laisné, qui lui a fait part de son intention de réduire l'activité des services de chirurgie et de maternité, à la suite de mauvais résultats comptables. Une réunion publique d'information a été organisée le , suivie par une manifestation dans la ville suivie par plus de 5 000 personnes. L'hôpital du Blanc, deuxième employeur de la ville, est en effet inscrit en 2010 dans une liste[Laquelle ?], établie par Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, faute de n'avoir pas atteint les 1 500 séjours requis à l'année.
Découpage territorial
Le Blanc[16] est membre :
- de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse ;
- du canton du Blanc ;
- de l'arrondissement du Blanc ;
- de la première circonscription de l'Indre.
Administration municipale
Tendances politiques et résultats
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours. | |||||||
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Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2002 | 84,57 % | Jacques Chirac | RPR | 15,43 % | Jean-Marie Le Pen | FN | 82,04 % [44] |
2007 | 52,85 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 47,15 % | Ségolène Royal | PS | 82,96 % [45] |
2012 | 54,54 % | François Hollande | PS | 45,46 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 78,67 % [46] |
2017 | 63,44 % | Emmanuel Macron | EM | 36,56 % | Marine Le Pen | FN | 73,29 % [47] |
2022 | % | Emmanuel Macron | LREM | % | Marine Le Pen | RN | % [48] |
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élu | Battu | Participation | ||||
Le Blanc est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des . | |||||||
Avant 2010, Le Blanc est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des . | |||||||
2002 | 53,98 % | Jean-Paul Chanteguet | PS | 46,02 % | Gilles Peyrot-des-Gachons | UMP | 71,86 % [49] |
2007 | 56,23 % | Jean-Paul Chanteguet | PS | 43,77 % | Bernard Pousset | UMP | 68,76 % [50] |
Après 2010, Le Blanc est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de . | |||||||
2012 | 61,93 % | Jean-Paul Chanteguet | PS | 38,07 % | François Jolivet | UMP | 61,19 % [51] |
2017 | 72,50 % | François Jolivet | UMP | 27,50 % | Mylène Wunsch | FN | 44,94 % [52] |
2022 | % | % | % [53] | ||||
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
Année | Liste 1re | Liste 2e | Participation | ||||
2004 | 37,71 % | Catherine Guy-Quint | PS | 16,07 % | Brice Hortefeux | UMP | 43,02 % [54] |
2009 | 28,03 % | Jean-Pierre Audy | UMP | 22,02 % | Henri Weber | PS | 37,94 % [55] |
2014 | 25,50 % | Bernard Monot | FN | 19,96 % | Brice Hortefeux | UMP | 41,17 % [56] |
2019 | 28,88 % | Jordan Bardella | RN | 19,19 % | Nathalie Loiseau | LREM | 50,59 % [57] |
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
Année | Liste 1re | Liste 2e | Participation | ||||
2004 | 55,76 % | Michel Sapin | PS | 28,87 % | Serge Vinçon | UMP | 65,11 % [58] |
2010 | 56,33 % | François Bonneau | PS | 32,09 % | Hervé Novelli | UMP | 51,31 % [59] |
2015 | 42,22 % | François Bonneau | PS | 29,16 % | Philippe Vigier | UDI | 56,82 % [60] |
2021 | % | % | % [61] | ||||
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élu | Battu | Participation | ||||
Le Blanc est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de . | |||||||
2001 | ? % | ? | ? | ? % | ? | ? | ? % [62] |
2004 | % | % | indisponible % | ||||
2008 | 65,74 % | Alain Pasquer élu au premier tour | PS | 26,15 % | Roland Caillaud | MNC | 71,24 % [63] |
2011 | % | % | indisponible % | ||||
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élus | Battus | Participation | ||||
Le Blanc est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de . | |||||||
2015 | 55,39 % | Marie-Georges Fayn-Dargenton Alain Pasquer | UG | 44,61 % | Gérard Blandeau Françoise Perrot | UD | 53,97 % [64] |
2021 | % | % | % [65] | ||||
Référendums. | |||||||
Année | Oui (national) | Non (national) | Participation | ||||
1992 | 47,84 % (51,04 %) | 52,16 % (48,96 %) | 72,13 % [66] | ||||
2000 | 74,45 % (73,21 %) | 25,55 % (26,79 %) | 30,84 % [67] | ||||
2005 | 41,77 % (45,33 %) | 58,23 % (54,67 %) | 69,16 % [68] |
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
octobre 1944 | mars 1959 | Ferdinand Seville[69] | SFIO | Cheminot électricien Conseiller général du Blanc (1945 → 1964) |
mars 1959 | mars 1971 | André Gasnier | Rad. | Directeur commercial Conseiller général du Blanc (1964 → 1988) |
mars 1971 | mars 1977 | Jean-Paul Mourot | UDR puis RPR |
Administrateur de presse Député de l'Indre (3e circ.) (1968 → 1978) Conseiller général de Tournon-Saint-Martin (1974 → 1985) |
mars 1977 | mars 1983 | René Thimel | ||
mars 1983 | novembre 2012 | Jean-Paul Chanteguet | PS | Conseiller économique Député de l'Indre (3e puis 1re circ.) (1988 → 1993 et 1997 → 2017) Conseiller général du Blanc (1988 → 1997) Démissionnaire suite à sa réélection comme député |
novembre 2012 | juin 2015 | Alain Pasquer | PS | Professeur d'histoire-géographie retraité, ancien adjoint Conseiller général du Blanc (1997 → 2015) Président de la CC Brenne - Val de Creuse (1998 → 2015) Décédé en fonction[70] |
juillet 2015[71] | juillet 2020 | Annick Gombert | PS | Médecin Conseillère régionale (2004 → 2021) Vice-présidente de la CC Brenne - Val de Creuse (2015 → 2020) |
juillet 2020 | En cours (au 6 mai 2021) |
Gilles Lherpinière | DVC | Agriculteur éleveur |
Instances de démocratie participative
Finances communales
Jumelages
La commune[72] est jumelée avec :