Liste des épouses des rois et prétendants au trône de Grèce
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Reine de Grèce et reines des Hellènes
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Reine de Grèce (el) Βασίλισσα της Ελλάδος puis Reine des Hellènes (el) Βασίλισσα των Ελλήνων | ||
Armoiries royales sous le règne des Glücksbourg. | ||
Anne-Marie de Danemark, dernière reine des Hellènes. | ||
Création | (mariage d'Amélie d'Oldenbourg et d'Othon Ier) (mariage d'Olga de Russie et de Georges Ier) |
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Abrogation | (Dictature des colonels) (Troisième République hellénique) |
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Premier titulaire | Amélie d'Oldenbourg (reine de Grèce) Olga de Russie (reine des Hellènes) |
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Dernier titulaire | Amélie d'Oldenbourg (reine de Grèce) Anne-Marie de Danemark (reine des Hellènes) |
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Résidence officielle | Palais royal et nouveau palais royal (Athènes) |
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Site internet | greekroyalfamily.gr | |
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La liste des épouses des rois et prétendants au trône de Grèce comprend les noms des six souveraines qui règnent, avec leurs maris, sur le royaume de Grèce entre 1832 et 1924 puis entre 1935 et 1973, ainsi que ceux des autres conjointes des rois et prétendants au trône.
La première de ces souveraines, Amélie d'Oldenbourg, porte le titre de « reine de Grèce » (en grec moderne : Βασίλισσα της Ελλάδος) de 1833 à 1862. Les six femmes qui lui succèdent (Olga Constantinovna de Russie, Sophie de Prusse, Élisabeth de Roumanie, Frederika de Hanovre et Anne-Marie de Danemark) arborent, quant à elles, le titre de « reine des Hellènes » (en grec moderne : Βασίλισσα των Ελλήνων) de 1863 à 1973. À ces six souveraines s'ajoutent Aspasía Mános, à qui aucun titre n'est conféré durant son éphémère mariage, entre 1919 et 1920, et Marie-Chantal Miller, qui est l'épouse de l'actuel prétendant à la couronne.
Étroitement apparentées au gotha européen, les souveraines grecques se sont inégalement intégrées à leur pays d'adoption, même si toutes, à l'exception d'Amélie d'Oldenbourg, ont embrassé la religion de leurs sujets. Les constitutions hellènes successives leur conférant des responsabilités limitées, la plupart des reines, sauf Amélie d'Oldenbourg et Frederika de Hanovre, sont restées éloignées de la politique. Chacune des souveraines s'est, par contre, montrée active dans le domaine social et, moindrement, culturel.