Littérature de la Guinée
Littérature de Guinée / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Littérature guinéenne?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
La littérature guinéenne — déjà reconnue à travers L'Enfant noir de Camara Laye, lauréat du prix Charles-Veillon en 1954, Soundiata ou l'épopée mandingue de Djibril Tamsir Niane qui popularisa le mythe de Soundiata Keïta en 1960 ou le prix Renaudot attribué à Tierno Monénembo pour Le Roi de Kahel en 2008 — trouve sa consécration lorsque Conakry est désignée « capitale mondiale du livre 2017 » par l'Unesco[1]. Toujours en 2017, Tierno Monénembo reçoit le Grand prix de la francophonie décerné par l'Académie française[2].
Cet article est une ébauche concernant la littérature et la Guinée.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Parmi les autres grands noms de la littérature guinéenne moderne figurent notamment Fodéba Keïta (1921-1969), Sikhé Camara (1921-), Alioum Fantouré (1938-), Williams Sassine (1944-1997), Kesso Barry (1948-), Mariama Kesso Diallo (?) et Koumanthio Diallo (1956-[3]).