Méréville (Essonne)
ancienne commune française du département de l'Essonne / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Ne doit pas être confondu avec Mérinville.
Méréville (prononcé [meʁevil] Écouter) est une ancienne commune française située dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Méréville | |||||
Les halles de Méréville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Étampes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de l'Étampois Sud-Essonne | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Guy Desmurs 2019-2020 |
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Code postal | 91660 | ||||
Code commune | 91390 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mérévillois | ||||
Population | 3 129 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 116 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 19′ 06″ nord, 2° 05′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 142 m |
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Superficie | 26,99 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Étampes | ||||
Historique | |||||
Commune(s) d'intégration | Le Mérévillois | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Le , elle fusionne avec Estouches pour former la commune nouvelle du Mérévillois.
Ses habitants sont appelés les Mérévillois[1].
Situation
Méréville est située à soixante-quatre kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, quarante-quatre kilomètres au sud-ouest d'Évry[3], quatorze kilomètres au sud-ouest d'Étampes[4], vingt-quatre kilomètres au sud-est de Dourdan[5].
Hydrographie
La commune est traversée par la rivière la Juine[6]. Une station de mesure hydrométrique est implantée dans la commune[7].
Relief et géologie
La commune comporte un des sites de la réserve naturelle des sites géologiques de l'Essonne.
Communes limitrophes
Monnerville | Saclas Guillerval |
Saint-Cyr-la-Rivière |
Angerville | Estouches | |
Autruy-sur-Juine Loiret |
Voies de communication et transports
Méréville est desservie par plusieurs lignes de bus, dont notamment les lignes 316 à 318 du réseau de bus Essonne Sud Ouest.
Occupation des sols simplifiée
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 90,98 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 3,19 % d'espaces ouverts artificialisés et 5,83 % d'espaces construits artificialisés[8].
Climat
Méréville, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé.
Merezvilla[9], Merelisvilla au XIe siècle[10], Merevillam en 1190[10], Mereville en 1262[9].
Au XIe siècle, le nom de la ville est rendu par le latin Merervilla, ce qui semble indiquer selon Bernard Gineste, un ancien seigneur du lieu répondant au nom d'origine germanique Merhier (mar-hari), ou Merila[11], bien attesté à l'époque sous la forme latine Marharius, et encore attesté comme patronyme[12]. Le lieu est aussi nommé Merilis dans un document du XIe siècle et Merervilla dans le Liber testanum de Saint-Martin des Champs au début du XIIe siècle[11].
La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[13].
"La mère-ville" et l'interprétation du nom de la localité ne semble pas concerner le Méréville de la Beauce. L'appellation "Merilis Villa" qui ressemble à l'étymologie du voisin Ansgerii villa (Angerville) semble plus logique. On retrouve d'ailleurs dans certains documents, une appellation de "seigneur de Mérinville".[Information douteuse][14].
La partie la plus élevée du territoire prit le nom de "Bourg Saint Père" par le fait que, pour racheter son excommunication, le seigneur de Méréville y fit installer huit moines venant de Bonneval, dont son frère (d'où "les saints pères" ?). Le territoire de la vallée (château) et celui de la butte (Saint Père), délimités par une croix toujours en place (croix de la Camuse), se réunifieront plus tard.
Antiquité et Moyen Âge
La ville de Merervilla au XIe siècle semble tirer son nom de celui d'un ancien seigneur Merier[12].
"Merevillam" de son nom latin, selon une charte de Philippe Auguste de 1198 entérinant le partage d'héritage de Gauthier de Villebéon, était déjà à l'époque de la charte une vieille châtellenie vicomtale. Au Xe siècle elle appartenait aux vicomtes du Puiset qui y possédaient un manoir bien fortifié, dont Henri Ier s'empara à la Saint-Jean de l'été 1042 et dont il démantela les remparts aux dépens du seigneur Hugues Bardoul[15]. Ayant confisqué la seigneurie, il la donna aux vicomtes d'Étampes. En 1104 une fille de Marc d'Étampes, Liesse, la reçut en dot pour son mariage avec Gui du Puiset, troisième fils du vicomte de Chartres Hugues Blavon, qui prit alors le nom de Gui Ier de Méréville. Son fils Hugues Ier de Méréville lui succéda vers 1144 et décéda en 1186. Ses deux fils, Gui II et Hugues II, se fixèrent du côté de Saint-Denis ; puis Gauthier de Villebéon-Nemours acheta Méréville entre 1186 et 1190. En fait, Orson, le fils de Gautier, était marié à une Liesse de Méréville ; il est fort plausible que cette Liesse, qui portait le prénom de la première dame de Méréville, ait été la fille de Gui II - même si son père est parfois cité comme « Guillaume »[16] - et que Gautier de Villebéon ait racheté les parts des cohéritiers de sa bru pour que cette dernière et son époux Orson/Urs(i)on de Nemours jouissent pleinement de Méréville.
En 1255 Jeanne de Méréville, une (arrière)-petite-fille d'Orson et Liesse, en hérita. Par son mariage[17] avec Guillaume IV de Linières[18], Méréville passa alors dans la famille de Lignières en Berry[19], où elle resta jusqu'à la moitié du XVe siècle[17], notamment dans la branche cadette fondée par Godemar (II) de Linières († ap. 1386), sire d'Aschères et Rougemont, Marans, Mennetou et Nançay, fils cadet du baron de Lignières Godemar Ier († 1340) et de sa 2e femme Marguerite de Précigny-Laleu, dame de Marans et de Bridoré ; Godemar Ier était lui-même le fils de Guillaume IV de Linières et de Jeanne de Nemours-Méréville.
Godemar (II) de Linières sert notamment en 1367 sous son beau-frère le maréchal Boucicaut ; de sa femme Jeanne, fille de Louis Ier de Brosse de Boussac, il a entre autres enfants : Godemar (III) († 1396 au voyage de Hongrie qui mena au désastre de Nicopolis), Jean de Linières évêque de Viviers en 1406-1442, et Isabeau, épouse de Jean de Châteauneuf. Godemar (III) et sa femme Agnès Trousseau, fille du vicomte de Bourges Jacques Trousseau et de Philippe de La Châtre, ont Godemar (IV) († ap. 1405), Marguerite (x Jean d'Argenton), Françoise (x Jean de Gamaches de Rosemont), et l'héritière Jeanne de Linières, dame de Mennetou et de Méréville vers 1401, qui marie 1° 1411 Jean de Brisay, puis 2° Dreux de Voudenay/de Vaudenay sire de la Motte-S(e)ully (ou La Motte-Feuilly, plutôt que la Motte-Sully à Beaujeu ; les Voudenay avaient ce bien d'une alliance avec les Sully-Beaujeu-La Cordille).
Les Voudenay héritèrent donc de Mennetou, mais pas de Méréville, que Jeanne de Linières avait dû vendre en 1446 à Aignan II de Saint-Mesmin pour payer ses dettes et procès. Les Saint-Mesmin ne gardèrent pas Méréville, qui dès 1456 passa aux Reilhac de Brigueil, dits désormais vicomtes de Mérinville, suivis par leurs descendants des Monstiers (ou des Moustiers ; à cette famille appartenaient les évêques Charles-François et René)[20].
Époque moderne
Au début du XVIe siècle, Louis XII accorde au seigneur Bertrand de Reilhac, le droit de tenir quatre foires annuelles ainsi qu'un marché par semaine[réf. nécessaire].
Il y eut encore une cession en 1688, au profit des Delpech (dont Jean Delpech, † 1737, conseiller de Grand'Chambre au Parlement) qui devinrent marquis de Mérinville en 1709 (le titre de comte de Mérinville restant attaché depuis 1775 à une possession languedocienne des Monstiers, Rieux).
Au XVIIIe siècle le château est racheté, à la veille de la Révolution française, par le riche financier Jean-Joseph de Laborde et connaît un grand rayonnement[21].
Époque contemporaine
Méréville est occupée par les Allemands du au [22].
En 1945, paraît un roman d'un jeune professeur, enfant du pays, Jean-Louis Bory. Mon village à l'heure allemande retrace la vie (avec ses détails truculents) des Mérévillois durant les six derniers mois de l'Occupation. Avec le soutien de la Grande Colette, il obtiendra le prix Goncourt 1945.
Fusion de communes
Les communes de Méréville, Estouches et Monnerville ont envisagé en 2016 de fusionner en formant une commune nouvelle[23]. Si le conseil municipal de Monnerville a finalement refusé de participer à la fusion, ceux de Méréville et Estouches ont confirmé en leur volonté de constituer la commune nouvelle du Mérévillois au [24]. Le , le préfet de l'Essonne a signé l'arrêté de création de la commune nouvelle « Le Mérévillois » entre les communes de Méréville et Estouches.
La commune nouvelle est effective au [25], et Méréville est devenue à cette date une commune déléguée du Mérévillois.
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [26], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne après un transfert administratif effectif au . Elle est rattachée à l'arrondissement d'Étampes.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription de l'Essonne.
La ville était depuis 1801 le chef-lieu du canton de Méréville[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton d'Étampes.
Intercommunalité
La commune, qui n'était jusqu'alors membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre, intègre le la communauté de communes de l’Étampois Sud-Essonne créée en 2008. Cette-ci, qui se transforme le en communauté d'agglomération sous le nom de communauté d'agglomération de l'Étampois Sud-Essonne
Tendances et résultats politiques
- Élections présidentielles,
Résultats des seconds tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 81,06 % pour Jacques Chirac (RPR), 18,94 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,72 % de participation[27].
- Élection présidentielle de 2007 : 61,27 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 38,73 % pour Ségolène Royal (PS), 85,08 % de participation[28].
- Élection présidentielle de 2012 : 57,25 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,75 % pour François Hollande (PS), 81,23 % de participation[29].
- Élection présidentielle de 2017 : 56,45 % pour Emmanuel Macron (LREM), 43,55 % pour Marine Le Pen (FN), 87,78 % de participation[30].
- Élections législatives
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Résultats des deuxièmes tours : (sauf pour 2007 : 1er tour)
- Élections législatives de 2002 : 64,49 % pour Franck Marlin (UMP), 35,51 % pour Gérard Lefranc (PCF), 61,22 % de participation[31].
- Élections législatives de 2007 : 58,65 % pour Franck Marlin (UMP) élu au premier tour, 15,84 % pour Marie-Agnès Labarre (PS), 62,06 % de participation[32].
- Élections législatives de 2012 : 65,43 % pour Franck Marlin (UMP), 34,57 % pour Béatrice Pèrié (PS), 55,18 % de participation[33].
- Élections européennes
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Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 19,37 % pour Harlem Désir (PS), 13,55 % pour Marine Le Pen (FN), 44,65 % de participation[34].
- Élections européennes de 2009 : 26,34 % pour Michel Barnier (UMP), 17,67 % pour Daniel Cohn-Bendit (Europe Écologie), 41,19 % de participation[35].
- Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 43,02 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 37,07 % pour Jean-François Copé (UMP), 65,37 % de participation[36].
- Élections régionales de 2010 : 52,76 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 47,24 % pour Valérie Pécresse (UMP), 46,82 % de participation[37].
- Élections régionales de 2015 : 30,54 % pour Wallerand de Saint-Just (FN), 41,47 % pour Valérie Pécresse (UMP), 52,49 % de participation[38].
- Élections cantonales et départementales
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Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2004 : 51,68 % pour Patrice Chauveau (PCF), 48,32 % pour Franck Marlin (UMP), 65,74 % de participation[39].
- Élections cantonales de 2011 : 67,64 % pour Guy Crosnier (UMP), 32,36 % pour Jacques Met (FN), 41,07 % de participation[40].
- Élections municipales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 872 voix pour Céline Aubry (?), 769 voix pour Régine Degez (?), 59,74 % de participation[41].
- Élections municipales de 2014 : Guy Desmurs (DVD) 49,39, J-P Dubois (UG) 28,26, C. Thourigny (Div) 22,34
- Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 71,10 % pour le Oui, 28,90 % pour le Non, 32,04 % de participation[42].
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 58,68 % pour le Non, 41,32 % pour le Oui, 71,28 % de participation[43].
Politique locale
Les communes de Méréville, Estouches et Monnerville ont envisagé en 2016 de fusionner en formant une commune nouvelle[23]. Si le conseil municipal de Monnerville a finalement refusé de participer à la fusion, ceux de Méréville et Estouches ont confirmé en leur volonté de constituer la commune nouvelle du Mérévillois au [24]. Le , le préfet de l'Essonne a signé l'arrêté de création de la commune nouvelle « Le Mérévillois » entre les communes de Méréville et Estouches. La commune nouvelle sera effective au [25].
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Liste des maires de 1790 à 1950
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juin 1950 | mars 1965 | Pierre Barberot | Centriste | Conseiller général de Méréville (1958 → 1964) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1965 | octobre 1969 | Georges Mercier | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
octobre 1969 | mars 1977 | Andrée Jossand | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1977 | novembre 1985 | Odile Duvant | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
novembre 1985 | juin 1995 | Guy Cuenot | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
juin 1995 | avril 2014[45] | Louis Auroux | SE-DVD | Retraité | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
avril 2014[46],[47] | décembre 2018 | Guy Desmurs | SE-DVD | Cadre dirigeant retraité Maire du Mérévillois (2019[48] → ) |
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2016, la commune comptait 3 129 habitants[Note 1], en diminution de 2,86 % par rapport à 2010 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 129 | - | - | - | - | - | - | - | - |
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 361 | 1 454 | 1 415 | 1 541 | 1 704 | 1 784 | 1 752 | 1 785 | 1 702 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 704 | 1 667 | 1 641 | 1 564 | 1 591 | 1 602 | 1 523 | 1 518 | 1 508 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 562 | 1 509 | 1 477 | 1 455 | 1 481 | 1 574 | 1 527 | 1 565 | 1 580 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 908 | 2 195 | 2 367 | 2 674 | 2 844 | 3 066 | 3 160 | 3 187 | 3 130 |
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[51].)
- Pyramide des âges en 2009
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 90 ans ou + | 1,9 |
5,8 | 75 à 89 ans | 8,5 |
13,3 | 60 à 74 ans | 12,0 |
23,9 | 45 à 59 ans | 23,6 |
20,2 | 30 à 44 ans | 20,8 |
17,2 | 15 à 29 ans | 14,9 |
19,2 | 0 à 14 ans | 18,2 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,3 | 90 ans ou + | 0,8 |
4,4 | 75 à 89 ans | 6,7 |
11,3 | 60 à 74 ans | 11,9 |
19,9 | 45 à 59 ans | 20,0 |
21,9 | 30 à 44 ans | 21,4 |
20,6 | 15 à 29 ans | 19,2 |
21,7 | 0 à 14 ans | 20,0 |
Enseignement
Les élèves de Méréville sont rattachés à l'académie de Versailles.
La commune dispose sur son territoire d'une école maternelle publique et de l'école élémentaire Jean-Joseph de Laborde[54] et du collège Hubert-Robert[55].
Santé
La commune dispose sur son territoire de la maison de retraite Tournebride[réf. nécessaire].
Sports
En 2019, Méréville possède 2 terrains de football, 1 terrain de basket-ball, 1 piste athlétique, un terrain multi-activités, 1 gymnase, 3 terrains de tennis plein air, 1 terrain de tennis couvert et 1 piscine découverte (ouverte seulement l'été).
Pour les randonneurs, la commune est traversée par le sentier de grande randonnée de pays du Hurepoix, qui relie la vallée de la Bièvre, à celle de l'Essonne, via l'Yvette, l'Orge et la Juine[56].
Autres services publics
La commune de Méréville dispose en 2011 sur son territoire d'une agence postale[57], d'une brigade de gendarmerie nationale[58] et d'un centre de première intervention[59].
Lieux de culte
La paroisse catholique de Méréville est rattachée au secteur pastoral de Saint-Michel-de-Beauce-Étampes et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes.
Elle dispose de l'église Saint-Pierre-ès-Liens[60]. Cet édifice comporte des œuvres d'un enfant du village, le peintre Philippe Cara Costea.
Médias
Les hebdomadaires Le Républicain et La République du Centre relatent les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Emplois, revenus et niveau de vie
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Raison : Les données concernent 2006...
En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 323 €, ce qui plaçait la commune au 4 365e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au 167e rang départemental[61].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Méréville | 2,9 % | 8,1 % | 10,6 % | 19,9 % | 26,3 % | 32,2 % |
Zone d’emploi d’Étampes | 1,8 % | 6,2 % | 15,1 % | 24,9 % | 27,2 % | 24,8 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Méréville | 5,2 % | 16,3 % | 8,6 % | 15,6 % | 12,2 % | 4,8 % |
Zone d’emploi d’Étampes | 2,9 % | 16,1 % | 6,7 % | 14,8 % | 9,2 % | 5,8 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[62],[63],[64] |