Michel Van Praët
biologiste et muséologue français / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Michel Van Praët?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Pour les articles homonymes, voir Van Praet.
Michel Van Praët, né le à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), est un muséologue français, professeur émérite du Muséum national d'histoire naturelle.
Elu en 2020, adjoint au maire de la ville d'Audierne, chargé de la culture |
---|
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Formation |
Université Pierre-et-Marie-Curie (doctorat) (jusqu'en ) Muséum national d'histoire naturelle (doctorat) (jusqu'en ) Université Pierre-et-Marie-Curie (doctorat) (jusqu'en ) |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Membre de | |
Distinctions |
Il débute en 1974 comme enseignant-chercheur en biologie marine au Muséum national d’histoire naturelle, avant de se tourner vers la muséologie. Il est, entre autres, membre des équipes chargées de transformer la « galerie de Zoologie » (ouverte en 1889 mais fermée en 1966) en « grande galerie de l'Évolution » (1988-1995) et de rénover le musée de l'Homme (2010-2012), assurant aussi le commissariat de plusieurs expositions temporaires (1979-2008). C’est l’un des fondateurs, directeurs et enseignants du DEA « Muséologie : sciences et sociétés », devenu master.
Président du comité français (1999-2004) de l’Conseil international des musées, membre du Conseil exécutif (2004-2010) et membre de la Commission internationale de déontologie (2000-2010) de cet organisme, il est co-rédacteur de deux versions du code de déontologie pour les musées. Développant alors une expertise sur le statut des restes humains au sein des collections et leur exposition, il est, à ce titre, entendu par le Sénat, en 2008-2009, travaillant alors sur la proposition de loi pour la restitution des têtes maoris. Nommé, par le Ministère de la Culture, au Comité consultatif national d'éthique en 2012 (mandat renouvelé en 2016) il est, en 2013, nommé à la Commission scientifique nationale des collections où il préside le groupe de travail « restes humains ».