Ngabo Ngawang Jigme
homme politique tibétain / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Ngapo Ngawang Jigmé (tibétain ང་ཕོད་ངག་དབང་འཇིགས་མེད་, Wylie : nga-phod ngag-dbang 'jigs-med ; sinogramme: 阿沛·阿旺晋美; pinyin: Āpèi Āwàng Jìnměi), né le à Lhassa au Tibet, mort le à Pékin, est un haut dirigeant tibétain qui occupa diverses fonctions militaires et politiques. Il est surtout connu pour avoir signé l'accord en 17 points qui affirma la souveraineté chinoise sur le Tibet[1],[2].
Gouverneur général du Kham (d) | |
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avril - | |
Kalön | |
- | |
Président de la région autonome du Tibet | |
Député 7e Assemblée nationale populaire (en) 6e Assemblée nationale populaire (en) 5e Assemblée nationale populaire (en) 4e Assemblée nationale populaire (en) 3e Assemblée nationale populaire (en) 2e Assemblée nationale populaire (en) 1re Assemblée nationale populaire (en) | |
Membre du comité national de la conférence consultative politique du peuple chinois 11e comité national de la conférence consultative politique du peuple chinois (d) 10e comité national de la conférence consultative politique du peuple chinois (d) 9e comité national de la conférence consultative politique du peuple chinois (d) 8e comité national de la conférence consultative du peuple chinois (d) 3e comité national de la conférence consultative politique du peuple chinois (d) 1er comité national de la conférence consultative politique du peuple chinois (en) |
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Nom dans la langue maternelle | |
Nationalités | |
Activités | |
Famille | |
Père | |
Conjoint | |
Enfants | |
Parentèle |
Lodrö Chökyi Sengé (petit-fils) |
Parti politique | |
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Arme | |
Grade militaire |
Zhong Jiang (en) |
Il est nommé ministre du gouvernement tibétain dès 1936, en 1950, gouverneur du Kham et commandant-en-chef de l'armée tibétaine à Chamdo[3]. Après l'entrée de l'armée chinoise au Tibet, il se rallie aux Chinois. En 1951, il est choisi comme chef de la délégation tibétaine chargée des pourparlers de paix avec le gouvernement chinois. Il est resté ministre du 14e dalaï-lama jusqu'à son départ en exil en .
Il occupe par la suite de hautes fonctions politiques dans la région autonome du Tibet[4] : commandant-en-chef adjoint de l'armée populaire de libération au Tibet, président de la région autonome du Tibet, vice-président du comité permanent de l'Assemblée nationale populaire[5].