Ollioules
commune française du département du Var / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Ollioules est une commune française située juste à l'ouest de Toulon dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ollioules | |||||
L'église Saint-Laurent. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Toulon | ||||
Intercommunalité | Métropole Toulon Provence Méditerranée | ||||
Maire Mandat |
Robert Beneventi 2020-2026 |
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Code postal | 83190 | ||||
Code commune | 83090 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ollioulais | ||||
Population municipale |
14 011 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 704 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 07′ 59″ nord, 5° 51′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 520 m |
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Superficie | 19,89 km2 | ||||
Type | Commune urbaine et littorale | ||||
Unité urbaine | Toulon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ollioules (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | ollioules.fr | ||||
modifier |
Ses habitants sont appelés les Ollioulais.
Dans le Var à 7 km à l'ouest de Toulon et à l'est de Sanary-sur-Mer (5 km) et de Marseille (57 km).
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Évenos, Sanary-sur-Mer, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages et Toulon.
Évenos | Évenos | Toulon |
Sanary-sur-Mer | Toulon | |
Six-Fours-les-Plages | La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages |
Mer Méditerranée |
Intercommunalité
Commune membre de la Métropole Toulon Provence Méditerranée.
Typologie
Ollioules est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[4] et 575 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulon est la neuvième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[10],[11].
Ollioules dispose d'un plan local d'urbanisme. La commune est par ailleurs membre du schéma de cohérence territoriale (SCoT) Provence Méditerranée[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (15 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), forêts (20,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), cultures permanentes (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Géologie et relief
Comme les a peintes Hubert Robert au XVIIIe siècle (voir Musée des beaux-arts de Nice) et les a décrites avec enthousiasme Victor Hugo, les gorges sont arides, sinueuses, déchirées. Le massif du Gros Cerveau surplombe le centre ville, avec une magnifique vue panoramique sur la Rade de Toulon d'une part, le Fort de Six Fours, la baie de Sanary et les Embiez d'autres parts.
Hydrographie et eaux souterraines
- La Reppe y a creusé une profonde faille avant de se jeter dans la baie de Sanary-sur-Mer[15].
- Source de la mère des fontaines.
- La ville bénéficie de la station d'épuration de Toulon Ouest - Cap Sicié, de 500 000 équivalent-habitant[16].
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité faible[17].
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat de Provence-Alpes-Côte d'Azur et Climat du Var.
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 1,3 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulon », sur la commune de Toulon à 7 km à vol d'oiseau[20], est de 16,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9 °C, atteinte le [Note 3],[21],[22].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 6,6 | 6,3 | 8,4 | 10,5 | 13,9 | 17,5 | 19,9 | 20,2 | 17,1 | 14,1 | 10,1 | 7,5 | 12,7 |
Température moyenne (°C) | 9,9 | 10,1 | 12,4 | 14,7 | 18,3 | 22,2 | 24,7 | 25 | 21,5 | 17,8 | 13,5 | 10,7 | 16,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 13,2 | 13,8 | 16,4 | 18,8 | 22,6 | 26,8 | 29,5 | 29,8 | 25,9 | 21,4 | 16,8 | 13,9 | 20,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−7,2 12.01.1987 |
−9 02.02.1956 |
−4,3 06.03.1971 |
0,3 03.04.22 |
4,6 01.05.1960 |
9 04.06.1984 |
12,8 17.07.00 |
12,3 31.08.1986 |
8,4 27.09.1972 |
3,2 30.10.1950 |
−0,9 27.11.1945 |
−4,5 29.12.1944 |
−9 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,9 19.01.07 |
23,2 17.02.22 |
26,4 02.03.08 |
28,1 23.04.09 |
34,7 27.05.22 |
36 27.06.19 |
40,1 07.07.1982 |
37 03.08.1975 |
34,9 05.09.16 |
29,3 11.10.1985 |
24,2 03.11.1977 |
21,9 13.12.1961 |
40,1 1982 |
Précipitations (mm) | 70,5 | 46,8 | 39 | 55,4 | 40,2 | 27 | 6,2 | 13,4 | 69,9 | 105,8 | 93,4 | 65,8 | 633,4 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
13,2 6,6 70,5 | 13,8 6,3 46,8 | 16,4 8,4 39 | 18,8 10,5 55,4 | 22,6 13,9 40,2 | 26,8 17,5 27 | 29,5 19,9 6,2 | 29,8 20,2 13,4 | 25,9 17,1 69,9 | 21,4 14,1 105,8 | 16,8 10,1 93,4 | 13,9 7,5 65,8 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[23]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].
Voies d'accès et transports
Réseau routier
La ville est desservie par l'ancienne route nationale, devenue D 8N, qui relie Toulon à Aix-en-Provence.
Réseau ferroviaire
Des lignes de SNCF traversent la commune, la desservant par la gare d'Ollioules - Sanary.
Transports en commun
Les lignes de bus du réseau Mistral de la communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée assurent la liaison avec les communes voisines grâce aux lignes U, 1, 11B, 12, 120, 122 et BN3 et notamment au pôle d'échanges de Portes d'Ollioules et de Toulon.
Ollioules s'écrit Ouliéulo[25] [uˈliwlɔ] en provençal selon la norme mistralienne.
Préhistoire et Antiquité
Le territoire d'Ollioules est fréquenté par l'homme depuis la Préhistoire, en particulier durant la période néolithique. Plus tard, ce terroir est occupé par la tribu celto-ligure des Camactulici, qui appartiennent à la confédération des Salyens (Salluvii). Ils construisent sur la colline de la Courtine un vaste oppidum, dont subsistent d'importants vestiges partiellement fouillés, et entretiennent des relations commerciales avec le comptoir grec de Tauroeis (le Brusc, commune de Six-Fours-les-Plages). Il n'y a pas de ville gallo-romaine, mais des fermes et villas dispersées sur le terroir agricole.
Moyen Âge
C'est au Moyen Âge qu'Ollioules apparaît à proprement parler. À partir de la fin du Xe siècle, elle fait partie des possessions des vicomtes de Marseille, qui ne tarderont pas à y établir un château féodal autour duquel se constituera le castrum initial. Aux XIIIe et XIVe siècles, la ville construit des remparts et développe son commerce, le bourg agricole devenant progressivement une opulente ville marchande favorisée par les franchises obtenues des comtes de Provence. C'est également au XIVe siècle que la ville passe en coseigneurie aux Vintimille et aux Simiane, deux puissantes familles de la noblesse provençale.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le seigneur d’Ollioules, Bertrand de Marseille, également seigneur d’Ollières, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[26].
Temps modernes
L'âge d'or d'Ollioules se situe entre le XVe siècle et la fin du règne de Louis XIV. Durant cette période, la superficie de la ville triple et une riche bourgeoisie se développe, ce qui se traduit aujourd'hui encore dans l'architecture du centre ancien. En 1520, les habitants rachètent pour une somme importante l'essentiel des droits seigneuriaux. On y cultive l'olivier, les agrumes (citronniers et orangers), les fruits et légumes, mais aussi le safran, le câprier et déjà les fleurs. Le 22 juin 1568, est approuvée la création des confréries de Saint-Nazaire, saint patron de Sanary, et de Saint-Laurent, saint patron d'Ollioules, cette dernière organisant la fête de Saint-Laurent, encore fêtée de nos jours.
Durement éprouvée par les aléas climatiques et la peste de Marseille, délaissée par ses élites au profit de Toulon et d'Aix-en-Provence, Ollioules est privée de son port par la séparation en 1688 de Saint-Nazaire (aujourd'hui Sanary-sur-Mer).
Révolution française
La ville est le théâtre en 1793 de violents combats entre coalisés et troupes républicaines venues assiéger Toulon, le lieutenant colonel Elzéar-Auguste Cousin de Dommartin est blessé lors de ces affrontements puis fait général de brigade sur le champ de bataille. La ville est occupée et l'état-major républicain s'y installe en septembre, sous le commandement de Jean-François Carteaux. La ville en sera ravagée par les pillages et les incendies. Par un heureux concours de circonstances, le jeune Napoléon Bonaparte est appelé à diriger l'artillerie et fera à Ollioules la démonstration de son talent militaire. La Ire République verra Ollioules harcelée par la délinquance de soldats et déserteurs de l'armée régulière.
XIXe siècle
Au XIXe siècle, une nouvelle période de prospérité apparaît avec la culture de la fleur. Considéré un temps comme la capitale des fleurs. D'abord essentiellement constituée d'immortelle commune, la production se diversifie bientôt et, grâce à l'arrivée du chemin de fer en 1852, au début du Second Empire, les fleurs sont expédiées dans toute l'Europe.
Le peintre paysagiste Paul Huet, lors d'un voyage dans la région, réalisa en 1838–1839, une aquarelle Ollioules près de Toulon, route de Marseille aujourd'hui dans une collection privée[27].
XXe siècle
En 1922, Cerny-lès-Bucy, ravagée par la guerre, cherchait une ville marraine, qui l'aiderait dans ses efforts de reconstruction : ce fut Ollioules. En effet, par deux fois, en 1922 et 1923, le conseil municipal d'Ollioules a attribué une subvention de 1 500 francs de l'époque à sa filleule, Cerny-lès-Bucy. Ces crédits ont permis l'agrandissement de l'école, prévu depuis 1910 et resté en suspens faute de ressources. Sources : infos Ollioules, n° 109 déc. 2018 - jan. 2019, page 32.
XXIe siècle
Aujourd'hui, Ollioules est une petite ville de plus de 13 000 habitants. Les labels « village fleuri » (3 fleurs), « ville de métiers d’arts » et « plus beaux détours » lui ont été décernés.
Les anches pour les instruments à vent d’Ollioules sont réputées comme les meilleures par les plus grands musiciens mondiaux[28].
Liste des seigneurs d'Ollioules
- Les Marseille
- Guillaume I de Marseille.
- Arnulphes, vicomte de Marseille.
- Foulques, vicomte de Marseille, frère du précédent.
- Guillaume dit « le gros », vicomte de Marseille, mort en 1047, frère du précédent.
- Aycard, vicomte de Marseille, fils du précédent.
- Guillaume dit « le jeune », vicomte de Marseille, frère du précédent.
- Foulques, vicomte de Marseille, mort en 1069, fils du précédent.
- Geoffroy, vicomte de Marseille, mort en 1090, oncle du précédent.
- Hugues-Geoffroy, vicomte de Marseille, mort en 1150, fils du précédent.
- Raimond-Geoffroy, vicomte de Marseille, mort en 1156, fils du précédent.
- Geoffroy, vicomte de Marseille, fils du précédent.
- Hugues de Marseille, vicomte de Marseille, frère du précédent.
- Raimond-Geoffroy, vicomte de Marseille, fils du précédent.
- Pons dit « de Peynier », vicomte de Marseille, seigneur de Peynier, fils du vicomte Geoffroy ou Jauffre.
- Bertrand dit « de Peynier », vicomte de Marseille, seigneur de Peynier, mort en 1180, fils du précédent. Après sa mort, ses terres passent à son gendre.
- Les Marseille-Signes ou Marseille-Évenos
- Guillaume Ier de Signes, seigneur d'Ollioules par la dot de son épouse Cécile, fille du précédent.
- Guillaume II, coseigneur d'Ollioules et d'Évenos, mort en 1253, fils du précédent.
- Guillaume III, coseigneur d'Ollioules et d'Évenos, fils du précédent.
- Bertrand III de Marseille-Signes, coseigneur d'Ollioules et d'Évenos, viguier de Marseille en 1286 et d'Avignon en 1300, vice-sénéchal de Provence de 1292 à 1294 et de 1313 à 1315, fils du précédent. Il lègue son nom, titres et seigneurie à son petit-neveu Bertrand de Vintimille[29] (fils de Boniface II et de Philippine de Sabran[30]), petit-fils de par son père de Manuel de Vintimille et de Sibylle de Marseille-Signes (sœur de Bertrand III de Signes) mais à la seule condition qu'il relève le nom de Marseille, ce qu'il fit.
- Les Marseille-Vintimille
- Bertrand Ier de Marseille-Vintimille, seigneur d'Ollioules et d'Évenos, petit-neveu du précédent.
- Bertrand II, seigneur d'Ollioules, d'Évenos, de Saint-Marcel et de Varages, mort en 1352.
- Bertrand III, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, de Saint-Marcel et de Varages, fils du précédent.
- Bertrand IV, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, de Saint-Marcel et de Varages, fils du précédent.
- Bertrand V, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, du Revest, de Cabriès, de Vitrolles, de Ventabren, de Trebillane et de La Val-d'Ardenne, comte de Vintimille et gouverneur de Toulon, fils du précédent.
- Les Vintimille des comtes de Marseille
- Bertrand VI, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, du Revest, de Cabriès, de Vitrolles, de Ventabren, de Trebillane et de La Val-d'Ardenne, fils du précédent.
- Bertrand VII, baron d'Ollioules, seigneur d'Évenos et du Revest, fils du précédent.
- Gaspard Ier, baron d'Ollioules et seigneur d'Évenos, fils du précédent.
- Philibert, baron d'Ollioules, fils du précédent.
- Gaspard II, baron d'Ollioules, mort le 19 avril 1585, fils du précédent.
- Magdelon[31], baron d'Ollioules et de Tourves, viguier de Marseille, Premier Consul d'Aix, fils du précédent.
- François, baron d'Ollioules, seigneur de Saint-Nazaire, de Roquefeuil et de Seillon, fils du précédent.
- Pierre-François-Hyacinthe, baron d'Ollioules, seigneur de Saint-Nazaire, de Roquefeuil et de Seillon, mort en 1727, fils du précédent.
- Les Raousset-Vintimille
- Anne, baronne d'Ollioules, morte le 20 janvier 1747, sœur du précédent.
- Simon-Joseph de Raousset-Vintimille, marquis de Seillion, baron d'Olioules et de Saint-Nazaire. Il succède à sa mère jusqu'en 1752, date à laquelle un arrêt du Parlement de Paris met fin à cette succession et remet les titres des dites terres d'Ollioules aux membres de la branche du Luc de la maison Vintimille.
- Les Vintimille du Luc
- Jean-Baptiste-Félix-Hubert de Vintimille du Luc, marquis du Luc et des Arcs, seigneur de Souvigny-sur-Oise, marquis de Castelnau en Languedoc, baron d'Ollioules, lieutenant général des armées du roi, inspecteur général de la cavalerie, est né le 23 juillet 1720 et mort en 1777. Il est le petit cousin au 5e degré d'Anne. Il épouse le 28 septembre 1739, Pauline Félicité de Mailly-Nesle.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Période | Identité | Étiquette | Qualité | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Les données manquantes sont à compléter. | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Liste des maires de 1793 à 1944[32]
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(démission) |
Marius Trotobas père[34] | SFIO | Cafetier Élu en 1945 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(décès) |
Paul Lemoyne[33] | SFIO | Expéditeur, conseiller général | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Henri Guisti | Maire par intérim | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Louis Brémond | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Marius Trotobas fils[35] | SFIO | Gestionnaire Réélu en 1965 et 1971 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Guy Durbec | PS | Cadre des travaux publics Sénateur du Var (1978 → 1981) Député de la 3e circonscription du Var (1981 → 1986) Conseiller général du canton d'Ollioules (1979 → 1985) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
(démission) |
René Arnoux | UDF-CDS | Artisan plombier Réélu en 1989 et 1995 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
En cours | Robert Bénéventi | DVD puis UMP-LR |
Chef d'entreprise Conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (2010 → ) Chevalier de l'Ordre national du Mérite (2011) Réélu en 2001, 2008, 2014[36]et 2020 |