Réforme du Conseil de sécurité des Nations unies
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La réforme du Conseil de sécurité des Nations unies englobe cinq questions clés : les catégories de membres, la question du droit de veto des cinq membres permanents, la représentation régionale, la taille d'un Conseil élargi et ses méthodes de travail, et la relation entre le Conseil de sécurité et l'Assemblée générale. Les États membres, les groupes régionaux et d'autres groupements d'intérêt des États membres ont élaboré des positions et des propositions différentes sur la manière d'avancer sur cette question contestée.
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Toute réforme du Conseil de sécurité nécessiterait l'accord d'au moins deux tiers des États membres de l'ONU lors d'un vote à l'Assemblée générale et devrait être ratifiée par deux tiers des États membres. Tous les membres permanents du Conseil de sécurité (qui disposent d'un droit de veto) doivent également donner leur accord.
Selon les critiques, les cinq membres permanents, à savoir la France, les États-Unis d'Amérique, le Royaume-Uni, la Russie et la Chine, ont abusé de leur pouvoir en opposant leur veto à des résolutions qui pourraient bénéficier aux États membres mais qui vont à l'encontre des opinions politiques du P5 (cinq États membres permanents). Le principal argument est que ce système n'est pas démocratique et que le pouvoir est déséquilibré au profit des États membres permanents, des pays choisis à la fin de la Seconde Guerre mondiale lors de la création de l'ONU en 1945.