Saïd Boualam
député de l'Algérie, vice président de l'Assemblée nationale / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Saïd Boualam?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Pour les articles homonymes, voir Boualem (homonymie).
Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam, né le à Souk Ahras (en Algérie) et mort le à Mas-Thibert, est un militaire et homme politique français.
Saïd Boualam | ||
Fonctions | ||
---|---|---|
Député français | ||
– (3 ans, 6 mois et 24 jours) |
||
Élection | 30 novembre 1958 | |
Circonscription | 5e circonscription d'Algérie | |
Gouvernement | Cinquième République | |
Groupe politique | RNUR | |
Biographie | ||
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Souk Ahras (Algérie française) | |
Date de décès | (à 75 ans) | |
Lieu de décès | Mas-Thibert, Arles (France) | |
Nationalité | Française | |
Parti politique | UNIR | |
Profession | Militaire, capitaine de l'armée française | |
Religion | Islam | |
Résidence | Orléansville | |
|
||
modifier |
Son surnom de « bachaga » signifie « haut dignitaire », ou « caïd des services civils », c'est-à-dire chef de tribu arabe ou berbère, en l’occurrence chef de la tribu des Béni-Boudouane[1], située en Ouarsenis (entre Alger et Oran)[2].
Il fut responsable de la harka de la région de l'Ouarsenis pendant la guerre d'Algérie.
De 1958 à 1962, le bachaga Boualam est élu quatre fois vice-président de l'Assemblée nationale[3],[4], devenant le symbole des musulmans favorables à la France[5].