Secrets d'Histoire
programme télévisé français (depuis 2007) / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Secrets d'Histoire est une émission de télévision historique présentée par Stéphane Bern. Chaque numéro retrace la vie d'un grand personnage de l'histoire et met en lumière des lieux hautement emblématiques du patrimoine français et d’autres grands pays.
Secrets d'Histoire | |
Logo de l'émission depuis 2017 | |
Genre | Documentaire historique |
---|---|
Réalisation | Baptiste Mathon (rédacteur en chef)[1] |
Présentation | Stéphane Bern Isabelle Benhadj (voix-off) |
Pays | France |
Langue | Français |
Nombre de saisons | 18 |
Nombre d’émissions | 183 (au ) |
Production | |
Durée | 1 heure (2007 et 2008) 1 heure 30 (2008 et 2009) 1 heure 30 à 2 heures (depuis 2010) |
Format d’image | 16/9 |
Production | Jean-Louis Remilleux |
Société de production | Société européenne de production et France Télévisions — Pôle France 2 |
Diffusion | |
Diffusion | France 2 (2007-2019) France 3 (à partir de 2019) |
Date de première diffusion | 30 septembre 2007 |
Statut | en cours |
Public conseillé | Tout public |
Site web | Secrets d'histoire.tv Secrets d'histoire sur France 3 |
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Elle est diffusée sur France 2 de 2007 à 2019, puis sur France 3 à partir de 2019.
Jean-Louis Remilleux, journaliste et producteur, est l'auteur de l'idée originale[2].
Des débuts compliqués (2007-2011)
Secrets d'Histoire est diffusée pour la première fois sur France 2 le [3].
Lors du lancement de l'émission, la chaîne indique que l'objectif est de faire découvrir au téléspectateur des figures historiques célèbres mais également de décrypter certains mystères inexpliqués, et parfois inexplicables, de l'Histoire[3].
Le premier numéro est ainsi consacré à la mort de l'empereur Napoléon Ier et aux thèses qui ont circulé concernant un éventuel empoisonnement[3].
Lors des deux premières saisons, l'émission est diffusée les dimanches après-midi sur France 2[4]. Chaque numéro est constitué de différents reportages, entrecoupés de débats en plateaux avec différents spécialistes (historiens, écrivains, chercheurs etc.)[3].
En juillet 2008, la direction de la chaîne décide d’arrêter l’émission. Très remonté, Stéphane Bern explique alors avoir dénoncé « le manque d’audace éditoriale de France Télévisions en matière de culture et de patrimoine ». Grâce à de bonnes audiences et à la « mobilisation des téléspectateurs sur le site internet de France 2 », l’émission se poursuit durant l’été 2008. Durant cette période, quatre nouveaux numéros d'une heure et demie sont diffusés en première partie de soirée[5].
À partir de , l’émission est cependant supprimée de la grille des programmes pour laisser sa place à L'Objet du scandale, présentée par Guillaume Durand[6].
En 2009 et en 2010, l’émission revient à l’antenne, mais uniquement au mois d'août pour quelques épisodes d'une heure et demie en première partie de soirée.
Lors de l'été 2011, France 2 diffuse sept nouveaux épisodes en première partie de soirée. La même année, la ligne éditoriale de l'émission évolue : « Cette saison, nous avons pris un nouveau virage avec le numéro consacré à Claude Monet, qui sera diffusé le 30 août. Je pense aussi en consacrer un à Victor Hugo. Bref, Secrets d'Histoire s'ouvrira à des artistes dont la dimension n'est pas seulement culturelle. » explique Stéphane Bern[7].
Dans le même temps, l'audience de l'émission progresse, passant de trois millions de téléspectateurs en moyenne en 2008 à 3,6 millions durant l'été 2011[8].
Un succès croissant (2012-2018)
À partir de 2012, le format des émissions change. Les débats entre spécialistes sont supprimés. Chaque numéro est construit comme un véritable documentaire, mêlant interviews de différents spécialistes, scènes de reconstitution et visites des différents lieux où les personnages traités ont vécu.
Lors de l'été 2012, France 2 diffuse dix nouveaux épisodes en première partie de soirée, dont plusieurs rencontrent un succès notable. Le numéro consacré à Louis XIV, intitulé Louis XIV, les passions du Roi Soleil, permet même à l'émission d'obtenir son record d'audience, avec près de cinq millions de téléspectateurs et 21,2 % de part d'audience. Il s'agit de la meilleure audience de l'histoire de l'émission[9].
À la suite de ces bonnes audiences, France 2 diffuse un, voire plusieurs numéros tous les mois en 2013.
À partir de 2014, la diffusion de l'émission se fait de manière plus aléatoire et à des jours variables en semaine (soit le mardi soit le jeudi). Dans une interview au Figaro, Stéphane Bern explique avoir alors affiché son mécontentement, regrettant que l'émission fasse office de « bouche-trou » sur France 2[10].
Malgré des diffusions aléatoires, l’émission rencontre un succès croissant, y compris à l’étranger. Interviewé à l’occasion de la onzième saison en 2017, Stéphane Bern indique : « Ce qui a surtout changé, c’est qu’à l’étranger on commence à mieux connaître Secrets d’Histoire. Nous avons par exemple été approchés par les Suédois ». Selon lui, cette nouvelle notoriété aurait « ouvert des portes » à l’émission[11].
La même année, les extraits de films sont supprimés et remplacés par des scènes de reconstitutions historiques avec des comédiens, qui sont tournées spécialement pour l’émission. Les acteurs sont habillés en costumes d’époque mais ne prononcent aucun texte, les commentaires étant réalisés par les historiens, Stéphane Bern ou Isabelle Benhadj[12].
Ce choix de tourner des séquences de reconstitutions s’explique par le refus de certains réalisateurs que leurs films soient coupés au montage, comme Luc Besson et son film Jeanne d'Arc, mais aussi parce que la production de Secrets d'Histoire avait parfois besoin de scènes qui n'existent pas dans les films[13].
Selon le producteur de l’émission, Jean-Louis Remilleux, la question des droits de diffusion a également poussé la production à privilégier des reconstitutions. En effet, même si les scènes de reconstitution coûtent sensiblement plus cher que les scènes de films ou téléfilms (10 000 euros pour une reconstitution contre 4 000 à 6 000 euros pour un film), cela évite à la production de repayer des droits en cas de rediffusion des épisodes[13].
En , une soirée est organisée au château de Versailles afin de fêter les dix ans de l'émission. À cette occasion sont conviés des mécènes du château ainsi que des téléspectateurs qui se sont inscrits sur la page Facebook de l'émission. « Il y a dix ans, on nous disait qu'une émission d'Histoire, c'était bon pour les vieilles dames qui font du macramé en Bretagne du Sud. La chaîne ne croyait pas non plus en Stéphane. Et vous avez vu nos audiences ? » se réjouit le producteur de l’émission Jean-Louis Remilleux[14].
En , l’émission est endeuillée par la mort de l’écrivain et chroniqueur Michel de Decker, qui avait collaboré à de nombreux numéros. À l’annonce de sa disparition, Stéphane Bern lui a rendu hommage : « Je lui dois beaucoup et l'émission lui doit beaucoup. Il a fait les beaux jours de cette émission pendant plus de dix ans. C'est un rendez-vous auquel il était très attaché »[15],[16].
Nouvelle vie sur France 3 (depuis 2019)
En , l'émission est basculée sur la chaîne France 3[17]. Ce choix s'explique par la volonté du groupe France Télévisions de conserver une cohérence éditoriale entre ses deux chaînes, France 2 et France 3. La chaîne France 3 étant orientée sur la valorisation du patrimoine et des régions françaises, à travers des émissions comme Le Village préféré des Français ou Des racines et des ailes, la direction de France Télévisions a donc décidé de diffuser l'émission « Secrets d’Histoire » sur cette chaîne[18].
Dans une interview au Parisien, le numéro deux de France Télévision, Takis Candilis, indique que le groupe souhaite en profiter pour proposer « plus de numéros en prime time » aux téléspectateurs, sans préciser s'il s'agit d'inédits ou de rediffusions[19].
À partir du mois d', l'émission est ainsi diffusée régulièrement le lundi soir sur France 3, un choix qui satisfait Stéphane Bern, pour qui il était important que l'émission dispose d'un créneau fixe en semaine[20].
Depuis sa diffusion sur la chaîne France 3, l’émission enregistre des résultats encourageants en termes d’audience. Les trois premiers numéros diffusés à partir d’ ont ainsi rassemblé en moyenne 2,4 millions de téléspectateurs (10,5 % de part de marché). À la suite de ces bons résultats, l’équipe de « Secrets d’Histoire » indique que neuf autres numéros lui ont été commandés pour l'année 2020, avec un budget de 400 000 euros pour chaque émission[21].
En 2020, l'épidémie de Covid-19 ainsi que les mesures sanitaires prises par les différents pays européens perturbent le tournage de certaines émissions.
Certains tournages prévus hors de France sont ainsi annulés ou confiés à des équipes locales. C'est le cas notamment de l'émission consacrée à Marie de Bourgogne, dont une partie se déroule au Château de Grandson en Suisse. Comme l'explique le conservateur du musée Camille Verdier, c'est une équipe locale qui a alors pris en charge les tournages au château : « Nous avons été contactés et tout s’est très rapidement mis en place. En raison du confinement et de la fermeture des frontières, c’est une équipe genevoise qui a assuré les prises, en présence de la réalisatrice »[22].
Le tournage d'une émission sur Napoléon Ier, à l'occasion du bicentenaire de sa mort, a également été perturbé. « On devait faire tous les plateaux à Sainte-Hélène mais on aurait dû subir une quarantaine sur place. On a donc tourné à Fontainebleau et aux Invalides. » explique Stéphane Bern[23].
La même année, un dérivé de l'émission, basé sur le même principe et consacré aux lieux célèbres voit le jour : Si les murs pouvaient parler, sur France 2.
Le , l’émission annonce le lancement le d'une plate-forme vidéo payante sur internet, secretsdhistoire.tv, permettant de visionner l’ensemble des numéros de « Secrets d’Histoire », mais également d’autres types de programmes en lien avec l’Histoire et le patrimoine[24].
Interrogé par le journal La Nouvelle République, le responsable de la plate-forme Baptiste Mathon explique :
« On y retrouvera les 150 épisodes et ceux à venir de « Secrets d’Histoire », des documents inédits et aussi de nouveaux programmes pluridisciplinaires. On y racontera l’Histoire au travers de différents prismes que sont le sport, la cuisine, le maquillage, la mode, la décoration, le jardinage… […] L’intégralité des entretiens avec des historiens sera disponible pour les abonnés du monde entier. C’est le même fonctionnement que Netflix[25]. »
À partir de janvier 2023, l'émission est déplacée et diffusée régulièrement le mercredi soir, à la place du lundi soir[26].
Choix des sujets
Lors d’une interview à Télérama en , Stéphane Bern explique comment sont choisis les sujets des différentes émissions : « On a des listes avec mon producteur Jean-Louis Remilleux, et ensuite on va voir la direction des programmes culturels de France Télévisions. […] » explique-t-il[27].
Un des critères importants est la possibilité de faire visiter au téléspectateur des lieux appartenant au patrimoine français. Il explique :
« On fait des listes de sujets en ayant toujours en tête que ça doit avoir une incidence sur : Quel lieu du patrimoine on peut montrer aux Français ? […] Pour moi, c’est une exigence car j’estime qu’il y a une géographie de l’Histoire. On ne peut bien raconter l’Histoire que dans les lieux où elle s’est déroulée. Chez les jeunes, c’est ce qui les touche le plus. […] Ça rend vraiment l’Histoire plus accessible[27]. »
Un autre critère est la commémoration d’anniversaires importants, comme le centenaire de la naissance ou de la mort d’un personnage historique. En 2015, à l’occasion du tricentenaire de la mort de Louis XIV, l’émission a diffusé deux numéros consécutifs sur le règne du « Roi-Soleil ». Le premier Louis XIV, l'homme et le roi retrace l’enfance du monarque, sa prise du pouvoir ainsi sa conception de la monarchie absolue. Le second, Louis XIV, le roi est mort, vive le roi ! s’attarde sur la fin de la vie du monarque ainsi que les différents décès qui vont entraîner des problèmes pour la succession au trône de France[28]. En 2020, à l'occasion des 250 ans de la naissance de Ludwig van Beethoven, l’émission lui consacre un numéro intitulé Beethoven, tout pour la musique[29].
L’existence d’expositions temporaires dans certains musées est également l’occasion pour l’émission de mettre en valeur certains personnages. Ainsi, à l'occasion d'une exposition sur les Tudors au Musée du Luxembourg en 2015[30], l’émission a diffusé un numéro consacré à la reine d'Angleterre Élisabeth Ire[31]. En 2019, à l'occasion de l'exposition Toutânkhamon, le trésor du pharaon qui s'est tenue à la Grande halle de la Villette à Paris[32], c’est un numéro sur Toutânkhamon et Ramsès II qui a été diffusé[33].
Lors d’un tournage à Souvigny en 2018, Stéphane Bern confirme l’existence de ces critères :
« On fait la sélection d’une part en fonction de l’intérêt qu’on leur porte et puis de l’intérêt historique de la chose. Selon les années, il y a des anniversaires. En ce moment, il y a une exposition sur Louis-Philippe. On trouvait normal de faire une émission sur Louis-Philippe. On a également célébré l’anniversaire de Saint-Louis et le bicentenaire de Joséphine[34]. »
Historique des sujets traités
La majorité des émissions présente le portrait d'un personnage historique.
Certaines émissions sont consacrées à des personnages très connus, comme Louis XIV, François Ier ou Napoléon Ier, d’autres à des personnages moins connus comme Thérèse de Lisieux ou certaines figures féminines de la Révolution française comme Olympe de Gouges et Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt[35].
Le choix de s’attarder sur la vie des personnages plutôt que sur l’histoire des idées ou des mouvements sociaux est assumé par le présentateur Stéphane Bern : « Je fais partie de ceux qui pensent que c’est important de connaître les règnes, de connaître ceux qui ont écrit l’Histoire, et pas simplement l’évolution des idées, cette vision globale qui empêche les élèves d’avoir des repères et un certain ancrage »[35].
Les personnages choisis sont souvent issus de la noblesse (rois, reines, empereurs, impératrices, , etc.). Sur les quatre-vingt-cinq sujets diffusés entre et , cinquante traitaient ainsi d'une tête couronnée[36].
D'après Stéphane Bern, ce choix éditorial répondrait à une question d'audience :
« Chaque fois que je fais des émissions sur les révolutionnaires, sur les peintres, ou sur des personnages comme Clemenceau, ça marche moins bien que lorsque je fais des émissions sur Marie-Antoinette. […] Par ailleurs, j’ai déjà traité beaucoup de révolutionnaires. En 2016, j’ai fait un numéro sur Les femmes de la Révolution et ça a fait un flop d’audiences[37]. »
Certains numéros sont consacrés à des personnages artistiques : écrivains (Victor Hugo, George Sand, Agatha Christie), peintres (Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël, Claude Monet, Pablo Picasso), musiciens (Mozart, Beethoven), acteurs (Sarah Bernhardt), dramaturges (Molière) ou artistes lyriques (Maria Callas[38]).
D'autres concernent des personnages politiques (Richelieu, Mazarin, Fouquet, Talleyrand, Danton, Clemenceau, Churchill, De Gaulle), militaires (Jeanne d'Arc) ou des navigateurs (Christophe Colomb).
Certains personnages historiques ont fait l'objet de plusieurs émissions. C'est le cas de Louis XIV et Napoléon Ier qui ont été le sujet de trois émissions. Par ailleurs, deux émissions ont été consacrées respectivement à Cléopâtre, Jeanne d'Arc, Molière, Madame de Pompadour, Casanova, Mozart, Élisabeth en Bavière (Sissi), Louis II de Bavière et Jésus[39].
Même si l'Antiquité ne fait pas partie des périodes les plus représentées dans l'émission, des numéros sont consacrés régulièrement à des personnages de cette période (Alexandre le Grand, Jules César, Cléopâtre, Agrippine, Néron, Jésus, Judas, Néfertiti, Toutânkhamon[33]).
Plus rares, certains numéros sont consacrés à des lieux illustres (L'Élysée, Monaco, les résidences royales ou le Vatican), à des énigmes de l'Histoire (le trésor des Templiers, le masque de fer, la bête du Gévaudan) ou à des événements marquants (la prise de la Bastille[40]).
Format des émissions
Ancienne formule
Entre 2007 et 2008, l'émission alterne des reportages avec des débats en plateau animés par Stéphane Bern.
Les reportages sont constitués d'interviews d'historiens entrecoupées de présentations de documents d'archives, de tableaux et d'extraits de films reconstituant ces événements historiques, l'ensemble étant commenté par une voix off.
Les débats en plateau sont tournés dans la Bibliothèque royale de Versailles[3]. L'animation est confiée à Stéphane Bern qui est entouré d'Isabelle Heullant-Donat (historienne du Moyen Âge à l'université de Reims Champagne-Ardenne), Clémentine Portier-Kaltenbach (chroniqueuse histoire au Nouvel Observateur) et Philippe Charlier (paléopathologiste et médecin légiste).
Chaque émission se termine par la présentation d'une bibliographie sur le sujet.
Dans cette formule, les émissions durent environ une heure.
Nouvelle formule
Les numéros diffusés durant les étés 2008, 2009, 2010 et 2011, puis toute l'année à partir de 2012 sont enregistrés en extérieurs et construits comme de véritables documentaires.
Stéphane Bern présente et raconte, avec Isabelle Benhadj en voix off, la vie de grands personnages de l'Histoire, au travers de visites des lieux où ils ont vécu, de scènes de reconstitutions, d'interviews d'historiens et d'extraits de films illustrant les événements historiques.
À partir de 2017, les extraits de films sont cependant supprimés pour laisser la place uniquement à des scènes de reconstitutions historiques avec des comédiens. Ces derniers sont habillés en costumes d’époque mais ne prononcent aucune parole, les commentaires étant réalisés par les historiens, Stéphane Bern ou Isabelle Benhadj[12].
Dans la nouvelle formule, les émissions durent entre une heure et demie et deux heures.
En fonction du sujet traité, différents spécialistes sont interviewés durant l’émission afin d’apporter un éclairage sur les personnages ou le contexte historique[3].
Il peut s’agir d’historiens, d’écrivains ayant rédigé une biographie du personnage traité, de professeurs, archéologues ou encore de conservateurs de musées.
Parmi les intervenants ayant le plus participé à l’émission, on retrouve notamment : Michel de Decker, Virginie Girod, Évelyne Lever, Jean-Christian Petitfils, Ève Ruggieri, Christian-Georges Schwentzel, Philippe Séguy ou Jean Tulard.
- Virginie Girod
- Jean-Christian Petitfils
- Christian-Georges Schwentzel
- Philippe Séguy
- Jean Tulard