Utilisateur:Patrick CecilF
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Contributeur depuis le 18 décembre 2007, sous adresse IP jusqu'au 13 mars 2008, puis sous le premier pseudonyme de CecilF (en hommage à Cecil B. DeMille) jusqu'au 16 janvier 2022, date à laquelle j'y ai adjoint mon véritable prénom.
- я українець[1]
Antienne pour une jeunesse perdue Quel glas pour ceux qui meurent comme du bétail ? Seule la colère monstrueuse des canons. Seul le hoquet des fusils Peuvent crépiter leurs oraisons hâtives Pour eux pas de prières ni de cloches, Ni aucune voix de deuil, seulement les chœurs, Le chant aigu des obus ; Et l'appel des clairons depuis des comtés tristes. Quelle chandelle éclairera leur départ ? Pas dans les mains des garçons, mais dans leurs yeux Brillera la lumière sacrée des adieux. La pâleur des filles sera leur linceul ; Leurs fleurs, la tendresse des pensées silencieuses, Et chaque lent crépuscule un store qui s'abaisse. Benjamin Britten, début du War Requiem (2e partie du Requiem aeternam, poème de Wilfred Owen traduit de l'anglais) |
Babi Yar Au-dessus de Babi Yar, il n'y a pas de monument L'escarpement est comme une grosse pierre tombale J'ai peur, aujourd'hui je me sens aussi ancien que le peuple juif Je me sens comme si, me voilà juif Me voilà errant dans l'Egypte ancienne Et me voilà pendu sur la croix, mourant, portant encore la marque des clous Me voilà, Dreyfus c'est moi (...) (début du poème Babi Yar d'Evgueni Evtouchenko, traduit du russe, intégré dans la Symphonie no 13 éponyme de Dmitri Chostakovitch) (...) Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer (fin du poème de Paul Éluard) |
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- Centres d'intérêt
- Cinéma : tous genres, périodes (préférence : du muet aux années 1960) et nationalités confondus.
- Musiques de films : sans limitation, mais préférence pour les partitions symphoniques.
- Musique dite "classique" : sans exclusion.
- Botanique : toutes plantes, mais plus spécialement les orchidées indigènes.