Alexandre Baril
Sociologue canadien spécialiste des questions de genre et de handicap / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Alexandre Baril, né en 1979 à Granby au Québec, est un universitaire canadien.
Naissance | Granby, Québec, Canada |
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Nationalité |
Canada |
Formation |
Université d'Ottawa, Université du Québec à Montréal, Université de Sherbrooke |
Activité |
A travaillé pour | |
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Domaine |
Théorie féministe, théorie queer, études de genre, études sur le handicap, sociologie du santé, de la santé et des mouvements sociaux, suicidologie critique |
Il est professeur agrégé[pB 1] à l’École de service social de l'université d'Ottawa depuis 2018[pB 2].
Ses recherches portent sur la diversité, incluant la diversité sexuelle et du genre, corporelle (handicaps et santé) et linguistique[pB 1],[1]. Menées dans une perspective intersectionnelle, elles se situent à la croisée de plusieurs champs disciplinaires, dont les études féministes et de genre, queers, trans, du handicap, de la sociologie du corps, de la santé et des mouvements sociaux et de la suicidologie critique[pB 3].
Alexandre Baril est un des auteurs pionniers en études trans dans la francophonie canadienne[2]. Sa création et son utilisation de néologismes français (cisnormativité, cisgenrenormativité, transcapacité, suicidisme, etc.) constituent des apports majeurs dans plusieurs champs d’études, incluant les études trans, les études sur le genre, les études sur le handicap et la suicidologie critique.
En plus de ses recherches, Alexandre Baril milite pour les droits de plusieurs groupes marginalisés, dont les personnes queer[3], trans[4],[5],[6], les personnes vivant avec un handicap et les personnes ayant des idées suicidaires[B 1],[B 2],[B 3],[B 4]. Cela l’amène à participer à plusieurs entrevues dans les médias, à des manifestations et à être invité à des conférences canadiennes et internationales comme conférencier d’honneur[pB 2].
Dans des entrevues accordées à certains médias, il explique la violence et la discrimination vécues à plusieurs niveaux par les personnes trans et marginalisées[7]. Il dénonce les inégalités sociales vécues par ces communautés et partage des solutions pour y mettre fin[B 5].