Pour réussir, le joueur doit gérer efficacement la diplomatie, l'armée et la recherche technologique de sa nation. Victoria s'inscrit ainsi dans la droite ligne des créations précédentes de Paradox Interactive, même s'il se révèle plus complexe que ses prédécesseurs plus connus: Europa Universalis II et Hearts of Iron. En effet, outre les secteurs d'activités cités ci-dessus, Victoria comporte un système de simulation économique et démographique (les Pops) qui sollicite l'attention constante du joueur. Malgré tout, la réception réservée par la critique spécialisée fut, au mieux, marmoréenne[1],[2], les difficultés d'apprentissage du jeu ainsi que les graphismes peu séduisants essuyant souvent de mauvais commentaires. GameRankings relève ainsi un score de 59,62%[3].