Alexandre Struys
peintre belge / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Alexandre Struys?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Alexandre Théodore Honoré Struys, né à Berchem le et mort à Uccle le , est un peintre belge de scènes de genre et de portraits[1].
Cet article peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées ().
Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nationalité | |
Activité | |
Formation | |
Élève | |
Lieux de travail | |
Distinction |
Médaille d'or à l'Exposition universelle de Paris de 1889 Grand prix à l'Exposition universelle de 1900 |
Après avoir fréquenté les Académies de Doordrecht et de Rotterdam, il fut formé par Joseph Van Lerius à l'Académie royale des beaux-arts d'Anvers, il a été, à partir de 1897, membre de cette institution et l'un des principaux représentants de la « peinture naturaliste sociale » belge[2]. Il s'est vu décerner la médaille d'or à l'Exposition universelle de Paris de 1889 et le grand prix à l'Exposition universelle de 1900. Ses œuvres les plus importantes sont La Visite du patient, L'Abandon et Le Désespoir[3],[4],[5].
« Théodore Struys étudie avec Johann Rutten à Dordrecht, puis devient l'élève de Beaufaux et Jozef Van Lerius à l'académie d'Anvers de 1864 à 1871. Il expose à Gand à partir de 1871 et voyage avec Jan Van Beers, en France et à Londres. En 1875, il participe au Salon de Bruxelles et est repéré par Lucien Solvay pour ses deux tableaux bien différents[6]. Peut-être (voir photo du Violoniste) et l'autre, nettement plus grand : Le Mangeur de moules. En 1876 il fait scandale avec son tableau "anticlérical"[7] Les Oiseaux de proie (ou God is dood (traduction : Dieu est mort) pour le titre original en néerlandais) qui fut la véritable cause du scandale. En 1877, il est nommé professeur de peinture et de gravure puis directeur à l'École des beaux-arts de Weimar (Großherzoglich-Sächsische Kunstschule Weimar) dont un Belge, Charles Verlat, avait déjà été directeur et un autre Belge Ferdinand Pauwels professeur. Il quitte ce poste en 1882 et part pour La Haye, où il réalise des portraits, puis s'installe avec ses parents au 172 boulevard des Capucins à Malines en 1884, se consacrant alors à des sujets sociaux »[8].