Armoiries de la France
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Les armoiries de la France ne font plus l'objet d'aucun texte juridique depuis le . Seuls la devise, l'hymne et le drapeau figurent dans la Constitution de la Ve République[2].
Armoiries de la France | |
Détails | |
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Écu | D'azur, au faisceau de licteur posé en pal, sur deux branches de chêne et d'olivier passées en sautoir, le tout d'or lié par un ruban du même, chargé de la devise : Liberté - Égalité - Fraternité en lettres de sable. |
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Un emblème non officiel, composé d'une pelta, d'un faisceau de licteur et de branches de chêne et d'olivier, est utilisé par la présidence de la République, le ministère des Affaires étrangères et figure sur la couverture des passeports, sur la carte d'identité et livrets de famille français, ainsi qu'en filigrane des cartes d'identité au format carte de crédit. La charte graphique du gouvernement prévoit aussi l'utilisation d'un logotype comprenant les couleurs du drapeau et Marianne.
Le faisceau de licteur est repris par l'héraldiste Robert Louis à la demande d'une commission interministérielle qui se réunit le afin de répondre à la demande du secrétariat des Nations unies qui désirait orner la salle d'assemblée de panneaux reproduisant les armoiries officielles de chaque État membre. On la retrouve encore, en noir et blanc, dans l'édition de 1962 du Grand Larousse encyclopédique. Elle se blasonne ainsi :
« D'azur, au faisceau de licteur posé en pal, sur deux branches de chêne et d'olivier passées en sautoir, le tout d'or lié par un ruban du même, chargé de la devise : Liberté — Égalité — Fraternité en lettres de sable[3],[4]. »
Le tout entouré du grand collier de la Légion d'honneur de la Troisième République modèle 1881. La commission adopte ce symbole[4] qui figure ainsi sur le panonceau réservé à la France dans la salle d'assemblée des Nations unies à New York[5] mais, devant la difficulté à obtenir une solution totalement satisfaisante, elle émet le vœu que le gouvernement puisse statuer sur l'adoption d'armoiries officielles de la IVe République et décide que la République française serait, en l'attente d'une solution définitive, représentée par « une composition rappelant celle adoptée par la IIIe République pour les postes diplomatiques et consulaires à l'étranger »[3].