Bombardier Transport
entreprise ferroviaire canadienne, filiale de la multinationale française Alstom / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Bombardier Transport?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Bombardier Transport était une entreprise ferroviaire canadienne dont le siège était situé à Netphen en Allemagne, rachetée depuis, par la multinationale française Alstom. Elle fut la division ferroviaire de la multinationale canadienne Bombardier Inc. de 1974 à 2021.
Pour les articles homonymes, voir Bombardier.
Bombardier Transport | |
Logo de Bombardier Transport | |
Création | |
---|---|
Dates clés | 1988 : rachat du constructeur ferroviaire belge BN 1989 : rachat du constructeur ferroviaire français ANF Industrie |
Disparition | 2021 |
Forme juridique | GmbH |
Siège social | Siegstraße 27, Netphen Allemagne |
Direction | Danny Di Perna, président (2019-2021) |
Actionnaires | Alstom (100 %) |
Activité | Construction ferroviaire, Maintenance de matériel roulant |
Produits | Équipements ferroviaires et systèmes de signalisation |
Société mère | Alstom |
Sociétés sœurs | Alstom Transport |
Filiales | Bombardier Transport France, Bombardier Transportation Belgium, Adtranz |
Effectif | 39 400 (2015) |
TVA européenne | DE811928847 |
Site web | |
Chiffre d'affaires | 8,3 milliards $ (2015) |
Société précédente | Adtranz et Strømmens Værksted (en) |
modifier - modifier le code - voir Wikidata |
Elle a été créée au début des années 1970 lors de la diversification de cette dernière à partir de plusieurs acquisitions. Présente partout dans le monde, Bombardier Transport fabrique du matériel roulant ferroviaire (rames, métros, autorails, automotrices, locomotives, tramways, etc.) ou des parties de ceux-ci (bogies, etc.) et des systèmes de sécurité ferroviaire[1]. Elle a notamment participé à la fabrication du matériel roulant du métro de Toronto.
En 2019, le groupe Bombardier lourdement endetté, a vu l'Union européenne rejeter sa tentative de fusion avec Siemens-Alstom, puis a approché la française Alstom et la japonaise Hitachi dans le cadre d'une recherche de partenaire pour fusionner ses activités ferroviaires.
Le est annoncé un accord de reprise par Alstom, approuvé en juillet 2020 par la Commission européenne, créant ainsi le numéro deux mondial du ferroviaire, derrière le chinois CRRC. Le , Alstom achète l'entreprise pour un montant de 5,3 milliards d'euros[2],[3].