La mort est mon métier
livre de Robert Merle / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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La mort est mon métier est un ouvrage de Robert Merle publié en 1952. Une préface a été ajoutée par l'auteur en 1972. Robert Merle avait remporté en 1949, trois ans auparavant, le Prix Goncourt pour son premier roman, Week-end à Zuydcoote, fortement soutenu par André Billy[1] et édités par Gallimard[2].
La mort est mon métier | |
Robert Merle en 1964 | |
Auteur | Robert Merle |
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Pays | France |
Préface | Robert Merle |
Genre | pseudo-mémoires |
Version originale | |
Langue | Français |
Version française | |
Éditeur | éditions Gallimard |
Collection | Blanche |
Date de parution | 1952 |
Nombre de pages | 413 |
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Le livre met en scène le personnage de Rudolf Lang, qui est « une re-création étoffée et imaginative de la vie de Rudolf Höss[3] », écrite d’après les mémoires de Höss lui-même (Le commandant d'Auschwitz parle) et le résumé, communiqué à l'auteur, des entretiens que le psychologue américain Gustave M. Gilbert eut avec Höss dans sa cellule lors du procès de Nuremberg ; suivie d'une description, d’après les documents du procès de Nuremberg, de la « lente et tâtonnante mise au point de l’Usine de Mort d’Auschwitz[3] ».
"Flaminéo", la pièce écrite en 1951 par l'auteur, pose, selon Louis Aragon, les fondements de l'oeuvre suivante, "La mort est mon métier"[4], qui sera adaptée au cinéma dans les années 1970 et s'appuie aussi sur une enquête approfondie[4].