Patrick Préjean
acteur français / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Patrick Préjean?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Pour les articles homonymes, voir Préjean.
Patrick Préjean, né le à Saint-Maur-des-Fossés (Seine)[1],[2], est un acteur[3] français.
Naissance |
(79 ans) Saint-Maur-des-Fossés, France |
---|---|
Nationalité | Française |
Profession | Acteur |
Films notables |
Les Cracks Le Cerveau Une merveilleuse journée Le Gendarme et les Gendarmettes Le Château de ma mère Crimes en sourdine |
Séries notables |
À votre service Une famille formidable À vous de jouer Milord |
Connu dans les domaines cinématographique, théâtral, et télévisuel, il a participé à de nombreuses pièces de théâtre, et compte, en 2018, des apparitions dans plus de 80 films et téléfilms[4].
Également connu pour ses performances vocales, il participe à de nombreux films et séries d'animation françaises dans lesquelles il interprète notamment le Nabot dans les séries Il était une fois…, Gorine dans Le Château des singes, Victor MacBernik dans Famille Pirate ou encore Gorgious dans Les Zinzins de l'espace[5]. Il participe également au doublage d'œuvres d'animation étrangères, doublant notamment Tigrou de Winnie l'ourson depuis le début des années 1980, Sylvestre et Sam le pirate des Looney Tunes depuis la fin des années 1990, Nigel Delajungle dans La Famille Delajungle[5], et Bayonne le cochon-tirelire dans les films Toy Story[5]. Du côté des comédiens étrangers, il prête régulièrement sa voix à John Lithgow et est une voix récurrente de Steve Martin[4].
Il a notamment été nommé aux Molières pour la pièce Cyrano de Bergerac en 1998[4]. Pour les médias, son rôle le plus marquant est celui du maréchal des logis Perlin dans Le Gendarme et les Gendarmettes (1982)[6]. Il a été qualifié de « décathlonien de l’art dramatique » par Le Télégramme[4], de « comédien multifacettes » par La Dépêche[7], et de « boulevardier [...] mais aussi « gueule du cinéma » par Le Journal des femmes[8].