Abderrahmane Farès
homme politique algérien / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Abderrahmane Farès (en arabe : عبدالرحمن فارس ; en kabyle : Ɛebderaḥman Fares), né le à Amalou près d'Akbou et mort le à Zemmouri, était un homme politique algérien. Il est membre de la première Assemblée nationale constituante française en 1946, puis président de l'Assemblée algérienne en 1953. Figure modérée du nationalisme algérien, il signe le le Manifeste des 61.
Abderrahmane Farès | |
Fonctions | |
---|---|
Président de l'Exécutif provisoire algérien (chef de l'État) | |
[1] – (5 mois et 19 jours) |
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Président du gouvernement | Benyoucef Benkhedda (provisoire) |
Prédécesseur | Poste créé |
Successeur | Ferhat Abbas (président de l'Assemblée nationale constituante) |
Président de l'Assemblée algérienne | |
[2] – (1 an et 2 jours) |
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Prédécesseur | Raymond Laquière |
Successeur | Raymond Laquière |
Député français | |
– (7 mois et 4 jours) |
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Élection | 21 octobre 1945 |
Circonscription | Alger |
Législature | Ire Constituante |
Groupe politique | SOC |
Conseiller général d'Alger | |
– (1 an) |
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Groupe politique | SFIO |
Conseiller municipal d'Alger | |
– (1 an) |
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Groupe politique | SFIO |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Akbou (Algérie) |
Date de décès | (à 80 ans) |
Lieu de décès | Zemmouri (Algérie) |
Nationalité | Algérien |
Parti politique | SFIO puis FLN |
Profession | Homme d'Etat Notaire |
Religion | Islam sunnite |
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Chefs de l'État algérien | |
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Il se rallie en 1956 au FLN dont il devient le trésorier et sert d'intermédiaire entre les instances de la Révolution et le gouvernement français jusqu'à son arrestation en 1961 pour « atteinte à la sûreté de l'État ». Il devient d'avril à septembre 1962, en application des accords d'Évian, président de l'Exécutif provisoire, chargé de la gestion courante du pays et de la préparation du référendum d'autodétermination de l'Algérie devant décider de l'avenir du pays et mettre fin à la guerre en cours[3].