Bataille de Guinegatte (1513)
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Pour l’article homonyme, voir Bataille de Guinegatte (1479).
La deuxième bataille de Guinegatte, dite Journée des éperons, oppose le à Guinegatte (aujourd'hui Enguinegatte, dans le Pas-de-Calais) les troupes françaises de Louis de Longueville[1] et Jacques de La Palice, destinées à libérer la place assiégée de Thérouanne, aux troupes anglo-germaniques commandées par Thomas Wolsey (futur cardinal-archevêque d'York), qui remportent la victoire de façon écrasante. Les deux commandants français, ainsi que le chevalier Bayard et Jacques d'Amboise, fils de Jean IV d'Amboise, sont faits prisonniers par les Anglais et emmenés à Londres.
Date | |
---|---|
Lieu | Enguinegatte Pas-de-Calais |
Issue | Victoire anglo-germanique |
Royaume de France | Ligue catholique |
Louis XII | Maximilien Ier Henri VIII |
inconnues | inconnues |
inconnues | inconnues |
Batailles
- Casaloldo (it) (10 mai 1509)
- Agnadel (14 mai 1509)
- Padoue (15 - 30 septembre 1509)
- Polesella (it) (22 décembre 1509)
- Monselice (1509-1510)
- Val Vestino (1510-1517)
- Villamarina (19 juillet 1510)
- Capo di Monte (8 septembre 1510)
- Mirandola (1510 - 1511)Siège de Mirandola
- Trévise (1511)
- Brescia (18 février 1512)
- Ravenne (11 avril 1512)
- Navarre (1512)
- Saint-Mathieu (10 août 1512)
- Blancs-Sablons (22 avril 1513)
- Brest (24 avril 1513)
- Novare (6 juin 1513)
- Guinegatte (16 août 1513)
- Dijon (8 - 13 septembre 1513)
- Flodden Field (9 septembre 1513)
- La Motta ou Creazzo (7 octobre 1513)
Coordonnées | 50° 36′ 32″ nord, 2° 16′ 19″ est |
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Cette victoire permet à Henri VIII et Maximilien d'Autriche, coalisés contre Louis XII au sein de la Ligue catholique (1511), de terminer victorieusement la quatrième guerre d'Italie.
Cette bataille a été immédiatement appelée la « Journée des éperons » parce que la cavalerie française y aurait fait plus usage des éperons pour quitter le champ de bataille que des armes pour combattre.