Culture de la mort
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L'expression culture de la mort a deux significations distinctes :
- Un terme utilisé en anthropologie et en sociologie pour décrire des phénomènes socioculturels où ont été glorifiés ou encore vénérés la mort (on parle alors plus volontiers de « culte de la mort »[1]. Ce terme a été ensuite réutilisé, voir détourné de son sens, pour décrire des groupements humains formels ou informels qui manifestent une certaine admiration pour les attentats-suicides[réf. souhaitée].
- Un concept introduit par le pape Jean-Paul II en 1993, et développé dans l'encyclique Evangelium Vitæ.
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De façon plus ambiguë, le syntagme « culture de la mort » se rencontre dans certains discours politiques contemporains, notamment aux États-Unis et en Pologne, pour décrire une position en réaction à certains sujets sociétaux comme l'avortement, l'eugénisme, l'euthanasie, le clonage humain ou encore la peine de mort[réf. nécessaire].
On trouve ainsi, à l'opposé, des discours qui manifestent la « culture de la vie ».