Gaz de schiste en Algérie
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L'exploitation du gaz de schiste en Algérie, voulue par le gouvernement (via l'entreprise publique Sonatrach) en 2015 puis relancée en 2017, fait l'objet d'une vive opposition de la société civile. Celle-ci a essentiellement lieu dans le sud du pays, en raison des risques encourus par la nappe phréatique de l'Albien, principale ressource en eau de la région du Sahara.
L’Algérie possèderait la troisième plus grande réserve au monde de gaz de schiste avec 19 800 milliards de m3[1], quatre fois plus que ses réserves de gaz conventionnel.