Lanceur de balles de défense
arme / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Lanceur de balles de défense?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Pour les articles homonymes, voir LBD.
« Lanceur de balles de défense » (LBD) est un terme de l'administration française désignant une « arme sublétale » utilisant un projectile conçu pour se déformer ou s'écraser à l’impact et limiter le risque de pénétration dans un corps vivant, mais avec une puissance d’arrêt suffisante pour dissuader ou arrêter un individu.
Cet article lié à la criminologie doit être recyclé ().
Une réorganisation et une clarification du contenu paraissent nécessaires. Améliorez-le, discutez des points à améliorer ou précisez les sections à recycler en utilisant {{section à recycler}}.
Ce type d'arme a été adopté par la Police nationale et des polices municipales, puis par la Gendarmerie nationale et l'administration pénitentiaire, comme armement intermédiaire entre la matraque et l'arme de poing. Le premier LBD fut celui fabriqué et commercialisé sous la marque Flash-Ball par le fabricant Verney-Carron.
Un lanceur de balles de défense est défini comme « arme de force intermédiaire » (AFI), au même titre que le « pistolet à impulsions électriques » (PIE) et la « grenade de désencerclement » (GMD/DBD/DMP). Il peut ainsi constituer « dans le respect des lois et des règlements, une réponse graduée et proportionnée à une situation de danger lorsque l’emploi légitime de la force s’avère nécessaire pour dissuader ou neutraliser une personne violente et/ou dangereuse. »[1],[2], avant utilisation de l’arme individuelle (pistolet 9 mm)[2].
L'usage de LBD peut présenter à courte distance des effets traumatiques dont la sévérité peut entraîner des lésions graves pouvant être irréversibles voire mortelles[3]. Dans le cadre de son utilisation par les forces de l'ordre, le LBD a causé des blessures : deux personnes sont décédées et vingt-trois autres ont perdu l'usage d'un œil en France entre 2004 et 2019, après avoir été touchées au visage par un tir de LBD[4].