Malédiction de la neuvième symphonie
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La malédiction de la neuvième symphonie est une superstition selon laquelle chaque compositeur, après Beethoven (disparu en 1827), mourra après avoir composé sa neuvième symphonie. Les exemples les plus souvent cités de cette « malédiction », en plus de Beethoven[1], sont Franz Schubert, Antonín Dvořák, Anton Bruckner et Gustav Mahler.
Heitor Villa-Lobos, en 1952, fut le premier à faire mentir cette superstition en composant sa dixième symphonie cette année-là, sur un total de douze, suivi de près par Dmitri Chostakovitch, qui composa sa dixième symphonie l'année suivante.