Reinhart Koselleck
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Reinhart Koselleck, né le à Görlitz et mort le à Bad Oeynhausen, est un historien allemand moderniste et contemporanéiste, généralement considéré comme l'un des plus importants du XXe siècle. Il occupait dans la discipline une position originale et ne peut être rattaché à aucune « école » historique, travaillant dans des champs aussi différents que l'épistémologie de l'histoire (Historik[2]), l'histoire des concepts, qu'il a contribué à constituer, la linguistique, les fondements anthropologiques de l'histoire et l'histoire sociale, du droit et de l'administration.
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Stieghorst (d) |
Nom de naissance | |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
Père |
Arno Koselleck (d) |
A travaillé pour | |
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Membre de | |
Conflit | |
Influencé par |
Martin Heidegger, Johannes Kühn (d) |
Distinctions | Liste détaillée Prix Reuchlin () Docteur honoris causa de l'université d'Amsterdam () Prize of the Historical College (d) () Prix Sigmund-Freud pour la prose scientifique () Prix historique de la ville de Münster () |
Archives conservées par |
Archives littéraires allemandes de Marbach (A:Koselleck, Reinhart)[1] |
Ses travaux ont notamment porté sur la Prusse et l'Allemagne aux XVIIIe et XIXe siècles. Il est connu pour sa thèse Le Règne de la critique (1954), fortement influencée par la pensée de Carl Schmitt, sa participation à la grande entreprise des Geschichtliche Grundbegriffe (1971-1992), et son ouvrage Le Futur passé (1979).