Renaissance de la harpe celtique
album d'Alan Stivell, sorti en 1971 / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Renaissance de la harpe celtique est le troisième album d'Alan Stivell et son deuxième album instrumental, paru en décembre 1971[1], en France et dans le monde par Philips. Il est la concrétisation du travail effectué avec son père Georges Cochevelou, le créateur de la première nouvelle harpe celtique, depuis les années 1950.
Sortie | 1973 1979 |
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Enregistré |
Studio des Dames Paris |
Durée | 37:02 |
Genre | Musique bretonne, folk, musique celtique, new age |
Format | 33 tours |
Producteur | Franck Giboni |
Label |
Fontana / Phonogram Philips Polydor |
Critique |
Albums de Alan Stivell
Reflets
(1970) À l'Olympia
(1972)
Cet aboutissement est salué à travers le monde, notamment outre-Atlantique, et inspire les musiciens dans la poursuite de ce chemin et les artistes par cet univers onirique. L'album reçoit le prix de l'académie Charles-Cros en France et il est nommé aux Grammy Awards aux États-Unis.
En ouverture, il choisit de présenter la légende bretonne de la ville engloutie Ys, puis, il joue deux complaintes bretonnes historiques et tragiques appelées des gwerzioù (Marv Pontkalleg et Eliz Iza), entrecoupées par l'arrangement d'anciens morceaux gallois pour harpe. L'autre grande partie de l'album reprend des thèmes traditionnels gaéliques (irlandais, écossais, mannois).