Shireen Abu Akleh
journaliste américano-palestinienne / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Shireen Abu Akleh (en arabe : شِيرِين أَبُو عَاقْلَة), née le à Jérusalem et tuée par des tirs provenant de l'armée israélienne le à Jénine, est une journaliste palestino-américaine[1].
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Mount Zion Cemetery (en) |
Nom dans la langue maternelle | |
Nom de naissance | |
Nationalités | |
Domiciles | |
Formation |
Université de Yarmouk (en) (Bachelor of Journalism (en)) (jusqu'en ) Université jordanienne des sciences et de la technologie Sœurs du Saint Rosaire de Jérusalem des Latins |
Activités |
Journaliste, reportrice, journaliste de télévision |
Période d'activité | |
Parentèle |
Lina Abu Akleh (nièce) |
A travaillé pour | |
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Distinctions |
Elle est reporter pour la chaîne d'information Al Jazeera depuis 25 ans et est alors l'un des noms les plus importants du journalisme au Moyen-Orient, lorsqu'elle est tuée sur le terrain d'une balle dans la tête, probablement par un tir de l'armée israélienne[2],[3],[4]. L’intentionnalité du tir, qui pourrait être un assassinat ciblé, est débattue et une enquête du département de la Justice des États-Unis est lancée en 2022.
L’événement, puis les réactions des autorités israéliennes et palestiniennes, ont des échos importants à l'international. De nombreuses instances, comme l'Union européenne ou la Maison-Blanche, réclament une enquête sérieuse pour faire la lumière sur les circonstances de la mort de la journaliste.
Des tensions importantes entre les autorités palestiniennes et les forces israéliennes se manifestent dans les jours qui suivent le décès, particulièrement lors des funérailles, quand ces dernières ont chargé la foule qui transportait le cercueil de la défunte, provocant à nouveau des réactions des diplomaties internationales.