Werner Kogler
politicien autrichien / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Werner Kogler, né le à Hartberg, est un homme politique autrichien.
Cet article est une ébauche concernant un homme politique autrichien.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Werner Kogler | |
Werner Kogler en 2020. | |
Fonctions | |
---|---|
Vice-chancelier d'Autriche Ministre fédéral des Arts, de la Culture, de la Fonction publique et des Sports | |
En fonction depuis le (4 ans, 3 mois et 28 jours) |
|
Chancelier | Sebastian Kurz Alexander Schallenberg Karl Nehammer |
Gouvernement | Kurz II Schallenberg Nehammer |
Prédécesseur | Clemens Jabloner (vice-chancelier) Alexander Schallenberg (Arts et Culture) Eduard Müller (Fonction publique et Sports) |
Porte-parole des Verts - L'Alternative verte | |
En fonction depuis le (6 ans, 6 mois et 18 jours) |
|
Prédécesseur | Ingrid Felipe |
Biographie | |
Date de naissance | (62 ans) |
Lieu de naissance | Hartberg (Autriche) |
Nationalité | Autrichienne |
Parti politique | Die Grünen |
Diplômé de | Université de Graz |
modifier |
Il est porte-parole des Verts - L'Alternative verte depuis 2017, ainsi que vice-chancelier, ministre fédéral des Arts, de la Culture, de la Fonction publique et des Sports depuis 2020.
Werner Kogler a grandi dans une famille d'entrepreneurs de l'est de l'Autriche[1].
Il entend représenter au sein de son parti un courant « pragmatique » et en remporte en 2017 la direction contre les tenants d'une ligne plus à gauche. Il se revendique aussi du catholicisme social[1].
Il est l'un des artisans de l'accord de gouvernement avec les conservateurs de Sebastian Kurz en 2020. Écologiste modéré, il estime que l'Autriche est « une petite économie en Europe. On ne peut pas risquer de faire fuir notre industrie de l'acier dans un autre pays moins-disant en prenant des mesures trop dures. » Sur la question de l’accueil des réfugiés il a interpellé le chancelier Sebastian Kurz en 2021 après la prise de Kaboul par les Talibans, l'appelant à faire preuve « de plus d'humanité »[1].