Constantin Regamey
compositeur et philologue polono-suisse / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Constantin Regamey?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Pour les articles homonymes, voir Regamey.
Constantin Regamey, né le à Kiev, en Ukraine, et mort le à Lausanne, Suisse[1], est un musicien suisse d'ascendance vaudoise et polonaise, à la fois compositeur, pianiste et critique musical ainsi qu'écrivain, philologue, bouddhologue et orientaliste. Il enseigna aux universités de Varsovie, Fribourg et Lausanne.
Nom de naissance | Constantin (Konstanty) Régamey |
---|---|
Naissance |
Kiev (Ukraine) |
Décès |
(à 75 ans) Lausanne (Suisse) |
Lieux de résidence | Kiev (Ukraine), Varsovie (Pologne), Lausanne (Suisse) |
Activité principale | Compositeur, pianiste, critique musical; écrivain, philologue, bouddhologue et orientaliste, enseignant |
Style | Musique moderne, musique contemporaine |
Activités annexes | Enseignement : langues et civilisations slaves et orientales, linguistique générale |
Enseignement | Fribourg (Suisse), Lausanne (Suisse) |
Ascendants | Fils de Konstanty Kazimierz Regamey |
Œuvres principales
Musique
- Fünf Etüden für Frauenstimme und Orchester = Cinq études pour voix de femme et orchestre = Five études for soprano and orchestra (1959)
- Cinq poèmes de Jean Tardieu pour chœur mixte de solistes (1965)
- Autographe pour orchestre (1967)
- 4 x 5, Concerto pour quatre quintettes (1971)
- Sonatine pour flûte et pianoforte (1979)
- Quintette pour clarinette, basson, violon, violoncelle et piano (1984)
- Études pour voix de femme et piano (1984)
- Chansons persanes pour baryton et orchestre (1994)
- Lila, double concerto pour violon, violoncelle et orchestra (1994)
Bouddhologie
- Philosophy in the Samādhirājasūtra: three chapters from the Samādhirājasūtra (1938)
- Buddhistische Philosophie (1950)
- The meaning and significance of spirituality in Europe and in India (1960-1961)
- Le pseudo-hapax « ratikara » et la lampe qui rit dans le « Sutra des ogresses » bouddhique (1965)
Nicole Loutan-Charbon, dans le livre qu'elle consacra à Constantin Regamey, le définit ainsi : « C. Regamey, véritable homme de la Renaissance vivant au XXe siècle, en qui s’unissent avec un rare bonheur les qualités d’un musicien, d’un érudit et d’un poète. »[2]