Isabelle Kaiser
poétesse suisse / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Isabelle Kaiser, née à Beckenried en Suisse le [2] et morte le à Beckenried, était une romancière et poétesse suisse[2].
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Archives littéraires suisses (CH-000015-0: SLA-Kaiser)[1] |
Wenn die Sonne untergeht (d) |
Son père, Fernando Kaiser, était journaliste et député au Grand Conseil genevois[3], sa mère descendait de Nicolas de Flue[2]. Après avoir vécu à Genève[2] puis à Zoug [3],[4] dans sa jeunesse, elle se retira, « éprouvée par des deuils successifs et des maladies » d'après Gérard Walch, à Beckenried en 1897[2] où elle se consacra à l'écriture.
De langue maternelle allemande, elle écrivit d'abord essentiellement en français jusque vers 35 ans, puis surtout en allemand [4]. Elle écrivit ainsi de nombreux romans et poèmes dans les deux langues[4]. L'Académie française lui décerne le prix Juteau-Duvigneaux en 1910 pour son ouvrage Marcienne de Flüe. Journal d'une femme - L'Ascension d'une âme et le prix de Jouy en 1917 pour La Vierge du lac.
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